Le choix de l'Alliance pour la liberté et le changement s'est porté sur un haut fonctionnaire international. Économiste de carrière, Abdalla Hamdok occupait jusqu'à l'année dernière le poste de vice-secrétaire de la commission économique pour l'Afrique à l'ONU.
C'est manifestement à l'unanimité qu'il a été désigné ce jeudi pour diriger le futur gouvernement de transition. Une équipe dans laquelle les civils occuperont une place prépondérante puisqu'ils devraient être au nombre de 18. Seuls deux ministères seront du domaine réservé des militaires, la Défense et l'Intérieur.
Le choix d'Abdalla Hamdok devrait être officialisé mardi prochain. Le dernier mot revient en effet au Conseil souverain qui doit diriger la transition. Un organe qui sera formé ce dimanche 18 août, au lendemain de la cérémonie de signature de l'accord global fixant les modalités de la transition et le partage du pouvoir entre civils et militaires.
L'accord a été trouvé ces dernières semaines après huit mois d'un bras de fer qui a fait plus de 250 victimes dans le rang des manifestants. L'accord prévoit d'ailleurs la création d'un « Comité d'investigation indépendant » pour que les auteurs de la répression répondent de leurs actes.
C'est manifestement à l'unanimité qu'il a été désigné ce jeudi pour diriger le futur gouvernement de transition. Une équipe dans laquelle les civils occuperont une place prépondérante puisqu'ils devraient être au nombre de 18. Seuls deux ministères seront du domaine réservé des militaires, la Défense et l'Intérieur.
Le choix d'Abdalla Hamdok devrait être officialisé mardi prochain. Le dernier mot revient en effet au Conseil souverain qui doit diriger la transition. Un organe qui sera formé ce dimanche 18 août, au lendemain de la cérémonie de signature de l'accord global fixant les modalités de la transition et le partage du pouvoir entre civils et militaires.
L'accord a été trouvé ces dernières semaines après huit mois d'un bras de fer qui a fait plus de 250 victimes dans le rang des manifestants. L'accord prévoit d'ailleurs la création d'un « Comité d'investigation indépendant » pour que les auteurs de la répression répondent de leurs actes.
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