« La taille de la corruption pendant le règne d’Omar el-Béchir dépasse ce qu’on pouvait imaginer », a déclaré Wadji Saleh. Membre du Comité chargé de récupérer les richesses spoliées par l’ancien régime, lui et ses collègues ont égrené les biens saisis.
Il s’agit de nombreuses propriétés, parfois luxueuses, ainsi qu’environ 100 000 m2 de terrain. Tout cela appartenant à une vingtaine de proches de l’ex-dictateur, qu’ils soient beaux-frères, nièces, neveux ou encore ancien ministre.
Controverses…
Des biens acquis frauduleusement grâce aux liens de proximité avec l’ancien président a expliqué le Comité, et qui seront remis au ministère des Finances.
« L’époque où les responsables prenaient l’argent des faibles est révolue. C’est un message envoyé aux officiels précédents et actuels », a promis Muhammad Al Faki Suleiman, numéro 2 du Comité.
Depuis décembre, cette institution donne des coups de boutoir à la galaxie Omar el-Béchir, qui perd rapidement ce qu’elle a accumulé en presque 30 ans de règne. Mais ces opérations « mains propres » ne sont pas sans controverses, car le Comité lui-même comprend des responsables de l’ancien pouvoir.
Déjà condamné à deux ans de prison, Omar el-Béchir est sous le coup d’autres procédures, pour le meurtre de manifestants ou son rôle dans le coup d’Etat de 1989. Quant à son transfert à la Cour Pénale Internationale, qui le poursuit depuis plus de 10 ans, on ne sait toujours pas s’il aura lieu un jour.
Il s’agit de nombreuses propriétés, parfois luxueuses, ainsi qu’environ 100 000 m2 de terrain. Tout cela appartenant à une vingtaine de proches de l’ex-dictateur, qu’ils soient beaux-frères, nièces, neveux ou encore ancien ministre.
Controverses…
Des biens acquis frauduleusement grâce aux liens de proximité avec l’ancien président a expliqué le Comité, et qui seront remis au ministère des Finances.
« L’époque où les responsables prenaient l’argent des faibles est révolue. C’est un message envoyé aux officiels précédents et actuels », a promis Muhammad Al Faki Suleiman, numéro 2 du Comité.
Depuis décembre, cette institution donne des coups de boutoir à la galaxie Omar el-Béchir, qui perd rapidement ce qu’elle a accumulé en presque 30 ans de règne. Mais ces opérations « mains propres » ne sont pas sans controverses, car le Comité lui-même comprend des responsables de l’ancien pouvoir.
Déjà condamné à deux ans de prison, Omar el-Béchir est sous le coup d’autres procédures, pour le meurtre de manifestants ou son rôle dans le coup d’Etat de 1989. Quant à son transfert à la Cour Pénale Internationale, qui le poursuit depuis plus de 10 ans, on ne sait toujours pas s’il aura lieu un jour.
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