Des milliers de personnes sont descendues dans les rues de Ouagadougou dans la nuit de mardi à mercredi pour, disent-elles, empêcher un éventuel coup d’Etat dans le pays.
Ils étaient des milliers ces manifestants se réclamant des soutiens et partisans du pouvoir. Ils ont pris d’assaut toutes les grandes artères de la capitale Burkinabè Ouagadougou.
Des mouvements similaires ont egalement été constatés dans d’autres villes comme Bobo-Dioulasso et Gaoua. Ces soutiens affirment tous qu’ils ont eu vent d’une éventuelle tentative de coup de force contre le capitaine Ibrahim Traoré.
Et pour prévenir cela, disent-ils, qu’ils sont descendus dans les rues. Depuis plusieurs mois, des partisans du pouvoir veillent chaque nuit dans les grands carrefours de Ouagadougou.
Les rumeurs de coup de force se sont multipliées ces derniers temps au Burkina. Début septembre, trois militaires – des sous-officiers – ont été inculpés et placés en détention préventive pour « complot militaire, violation de consignes, complot contre la sûreté de l’Etat, association de malfaiteurs et mise en danger de la vie d’autrui », selon le parquet militaire. Ils ont tous reconnu « sans ambages les faits », avait ajouté ce tribunal.
Ils étaient des milliers ces manifestants se réclamant des soutiens et partisans du pouvoir. Ils ont pris d’assaut toutes les grandes artères de la capitale Burkinabè Ouagadougou.
Des mouvements similaires ont egalement été constatés dans d’autres villes comme Bobo-Dioulasso et Gaoua. Ces soutiens affirment tous qu’ils ont eu vent d’une éventuelle tentative de coup de force contre le capitaine Ibrahim Traoré.
Et pour prévenir cela, disent-ils, qu’ils sont descendus dans les rues. Depuis plusieurs mois, des partisans du pouvoir veillent chaque nuit dans les grands carrefours de Ouagadougou.
Les rumeurs de coup de force se sont multipliées ces derniers temps au Burkina. Début septembre, trois militaires – des sous-officiers – ont été inculpés et placés en détention préventive pour « complot militaire, violation de consignes, complot contre la sûreté de l’Etat, association de malfaiteurs et mise en danger de la vie d’autrui », selon le parquet militaire. Ils ont tous reconnu « sans ambages les faits », avait ajouté ce tribunal.
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