Le ministre de la Justice, Garde des sceaux, Cheikh Tidiane SY
L’accusation de tentative de coup d’état et de complot contre le régime se dégonfle comme un ballon de baudruche. Et c’est le ministre de la Communication et porte-parole dément le ministre de la Justice, garde des sceaux qui avait annoncé cette pétaradante nouvelle tard dans la nuit du 18 mars. Le porte-parole du gouvernement, Moustapha Guirassy a dans un communiqué parvenu à notre rédaction fait savoir : «aucun élément de l’enquête ne permet, aujourd’hui, de dire avec certitude qu’il s’est agi d’un complot ou d’une quelconque tentative de coup d’Etat».
Le ministre de la Communication est ainsi revenu sur les péripéties de l’affaire en rappelant qu’à «la suite de faits qui ont été portés à sa connaissance et relatifs à des actes et manœuvres graves pouvant être qualifiés de crimes et délits, le Procureur de la République, saisi par le Ministre d’Etat, Ministre de la Justice, a décidé d’ouvrir une enquête pour cerner tous les contours de cette affaire. Cette information a été portée à la connaissance de l’opinion publique le 18 Mars dans la soirée par le Ministre d’Etat, Ministre de la Justice».
Et d’ajouter que «l’audition des personnes suspectées qui avaient été clairement identifiées a permis de constater qu’il y a bel et bien des actes préparatoires dont l’objectif était de créer des désordres et troubles dans la journée du 19 Mars». En revanche, précise Moustapha Guirassy : «aucun élément de l’enquête ne permet, aujourd’hui, de dire avec certitude qu’il s’est agi d’un complot ou d’une quelconque tentative de coup d’Etat».
Il a, tout de même souligné que «l’enquête suit son cours et les résultats seront portés à l’appréciation des autorités judiciaires compétentes qui en tireront toutes les conséquences».
Le porte-parole du gouvernement a, par ailleurs signalé que l’attelage gouvernemental s’est réjoui du climat d’apaisement et de concorde nationale qui a suivi les manifestations de l’opposition et du pouvoir tenues le 19 mars, journée qui a été perçue, aussi bien sur le plan national qu’international, comme l’expression de la vitalité et de la maturité de la démocratie sénégalaise.
Le ministre de la Communication est ainsi revenu sur les péripéties de l’affaire en rappelant qu’à «la suite de faits qui ont été portés à sa connaissance et relatifs à des actes et manœuvres graves pouvant être qualifiés de crimes et délits, le Procureur de la République, saisi par le Ministre d’Etat, Ministre de la Justice, a décidé d’ouvrir une enquête pour cerner tous les contours de cette affaire. Cette information a été portée à la connaissance de l’opinion publique le 18 Mars dans la soirée par le Ministre d’Etat, Ministre de la Justice».
Et d’ajouter que «l’audition des personnes suspectées qui avaient été clairement identifiées a permis de constater qu’il y a bel et bien des actes préparatoires dont l’objectif était de créer des désordres et troubles dans la journée du 19 Mars». En revanche, précise Moustapha Guirassy : «aucun élément de l’enquête ne permet, aujourd’hui, de dire avec certitude qu’il s’est agi d’un complot ou d’une quelconque tentative de coup d’Etat».
Il a, tout de même souligné que «l’enquête suit son cours et les résultats seront portés à l’appréciation des autorités judiciaires compétentes qui en tireront toutes les conséquences».
Le porte-parole du gouvernement a, par ailleurs signalé que l’attelage gouvernemental s’est réjoui du climat d’apaisement et de concorde nationale qui a suivi les manifestations de l’opposition et du pouvoir tenues le 19 mars, journée qui a été perçue, aussi bien sur le plan national qu’international, comme l’expression de la vitalité et de la maturité de la démocratie sénégalaise.
Autres articles
-
Thierno Bocoum à Ousmane Sonko, "les attentes sont dans l'action"
-
Casamance : un vaste programme de déminage prévu (Ousmane Sonko)
-
Foundiougne : le terminal marchand de Ndakhongua opérationnel dès le premier trimestre 2025
-
DPG : Ousmane Sonko défend la Cour des comptes et prône un développement endogène
-
Abrogation de la loi d’amnistie : la réponse de Sonko