Le chef du Hamas soutient que la mort de trois de ses fils dans une frappe israélienne n'infléchira pas la position du mouvement islamiste dans les pourparlers pour une trêve à Gaza, où les raids aériens se poursuivent jeudi après six mois de guerre.
Le Hamas avait annoncé mercredi que trois fils et quatre petits-enfants d'Ismaïl Haniyeh avaient péri dans une frappe survenue dans le camp de réfugiés de Chati, dans la ville de Gaza (nord), où la famille rendait visite à des proches au premier jour des célébrations de l'Aïd al-Fitr marquant la fin du mois sacré musulman du ramadan.
"Je remercie Dieu pour l'honneur que nous fait le martyre de mes trois fils et de certains de mes petits-enfants", a déclaré M. Haniyeh, basé à Doha, à la chaîne du Qatar Al Jazeera. "L'ennemi a visé une voiture à bord de laquelle ils se trouvaient".
L'armée israélienne a confirmé avoir tué dans une frappe aérienne les trois fils de M. Haniyeh, qualifiés d'"agents militaires de l'organisation terroriste Hamas", qui intervient alors que les médiateurs qatari, égyptien et américain attendent la réponse du mouvement islamiste palestinien à leur proposition de trêve avec Israël, associée à une libération d'otages retenus à Gaza.
"L'ennemi pense pouvoir briser la volonté de notre peuple et pousser les dirigeants à faire des concessions (...) Il peut rêver! Ce sang versé nous rendra encore plus fermes", a ajouté M. Haniyeh. "Nos exigences sont claires et nous n'y renoncerons pas. Si l'ennemi croit que cibler mes fils au plus fort des négociations et avant que le Hamas ne donne sa réponse, poussera le mouvement à changer de position, il se trompe", a-t-il souligné.
Elu chef du bureau politique du Hamas en 2017, Ismaïl Haniyeh vit entre le Qatar et la Turquie. Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, lui a présenté mercredi ses condoléances, et le président iranien Ebrahim Raïssi et le N.2 du Hezbollah libanais, Naïm Qassem, l'ont contacté pour lui présenter aussi leurs condoléances, a indiqué le mouvement islamiste palestinien.
Le Hamas avait annoncé mercredi que trois fils et quatre petits-enfants d'Ismaïl Haniyeh avaient péri dans une frappe survenue dans le camp de réfugiés de Chati, dans la ville de Gaza (nord), où la famille rendait visite à des proches au premier jour des célébrations de l'Aïd al-Fitr marquant la fin du mois sacré musulman du ramadan.
"Je remercie Dieu pour l'honneur que nous fait le martyre de mes trois fils et de certains de mes petits-enfants", a déclaré M. Haniyeh, basé à Doha, à la chaîne du Qatar Al Jazeera. "L'ennemi a visé une voiture à bord de laquelle ils se trouvaient".
L'armée israélienne a confirmé avoir tué dans une frappe aérienne les trois fils de M. Haniyeh, qualifiés d'"agents militaires de l'organisation terroriste Hamas", qui intervient alors que les médiateurs qatari, égyptien et américain attendent la réponse du mouvement islamiste palestinien à leur proposition de trêve avec Israël, associée à une libération d'otages retenus à Gaza.
"L'ennemi pense pouvoir briser la volonté de notre peuple et pousser les dirigeants à faire des concessions (...) Il peut rêver! Ce sang versé nous rendra encore plus fermes", a ajouté M. Haniyeh. "Nos exigences sont claires et nous n'y renoncerons pas. Si l'ennemi croit que cibler mes fils au plus fort des négociations et avant que le Hamas ne donne sa réponse, poussera le mouvement à changer de position, il se trompe", a-t-il souligné.
Elu chef du bureau politique du Hamas en 2017, Ismaïl Haniyeh vit entre le Qatar et la Turquie. Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, lui a présenté mercredi ses condoléances, et le président iranien Ebrahim Raïssi et le N.2 du Hezbollah libanais, Naïm Qassem, l'ont contacté pour lui présenter aussi leurs condoléances, a indiqué le mouvement islamiste palestinien.
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