Ils sont près de 6000 au Sénégal à souffrir d’insuffisance rénale. Les milles voire deux milles d’entre eux sont des hémodialysés. Et pourtant le parc de machine pour ces malades appartenant à l’Etat du Sénégal ne fait pas vingt machines. Ces informations sont données par Abdou Niang chef du centre hémodialyse de l’hôpital Aristide Le Dantec lors de la remise d’un poste d’hémodialyse ce matin au centre qu’il dirige.
Ainsi, même si l’Etat fait des efforts considérables avec la baisse à 80%du prix de la dialyse et la volonté d’ouvrir des centres de dialyse à travers le pays, il ne peut tout prendre en charge. Tous les dialysés du Sénégal se soignent à Dakar. Mais bientôt seront inauguré les centres de dialyse de Saint-Louis, Tambacounda et Touba. Nonobstant ces efforts, « le fardeau que constitue l’insuffisance rénale ne peut être porté par le seul gouvernement », indique le colonel Niang. Donc des privés devraient penser apporter leur pierre à l’édifice. Car « chaque mois nous avons entre dix et vingt nouveaux cas et tous ces malades ne peuvent pas être pris en charge », selon le colonel Niang. Par conséquent, « sur cent malades seuls deux sont soignés, les quatre vingt-dix-huit sont condamnés à mourir», ajoute M. Niang. C’est pourquoi d’ailleurs la représentante des malades, affectée par la non prise en charge d’une fillette de onze ans obligée de se tourner vers le privé, la voix basse, le visage défait, lance elle aussi un appel aux bonnes volontés et leur demande « de ne pas seulement attendre le gouvernement ».
Ce don de la fondation Pamecas assimilé à « une illustration de la mission sociale » de cette dernière suivant son président Mame Alassane Gueye vient à son heure. L’hôpital Aristide Le Dantec vient en effet d’être doté de son second centre d’hémodialyse et il ne lui manque que des machines. Donc, les deux générateurs offerts avec leurs accessoires et des consommables et dont le prix est estimé à 19 millions donnent le ton. Les autorités de cet hôpital exhortent les entreprises à suivre les pas de la fondation Pamecas. « Nous faisons appel aux autres entreprises à suivre les pas de la fondation Pamecas car un appareil offert c’est cinq malades sauvés ».
Ainsi, même si l’Etat fait des efforts considérables avec la baisse à 80%du prix de la dialyse et la volonté d’ouvrir des centres de dialyse à travers le pays, il ne peut tout prendre en charge. Tous les dialysés du Sénégal se soignent à Dakar. Mais bientôt seront inauguré les centres de dialyse de Saint-Louis, Tambacounda et Touba. Nonobstant ces efforts, « le fardeau que constitue l’insuffisance rénale ne peut être porté par le seul gouvernement », indique le colonel Niang. Donc des privés devraient penser apporter leur pierre à l’édifice. Car « chaque mois nous avons entre dix et vingt nouveaux cas et tous ces malades ne peuvent pas être pris en charge », selon le colonel Niang. Par conséquent, « sur cent malades seuls deux sont soignés, les quatre vingt-dix-huit sont condamnés à mourir», ajoute M. Niang. C’est pourquoi d’ailleurs la représentante des malades, affectée par la non prise en charge d’une fillette de onze ans obligée de se tourner vers le privé, la voix basse, le visage défait, lance elle aussi un appel aux bonnes volontés et leur demande « de ne pas seulement attendre le gouvernement ».
Ce don de la fondation Pamecas assimilé à « une illustration de la mission sociale » de cette dernière suivant son président Mame Alassane Gueye vient à son heure. L’hôpital Aristide Le Dantec vient en effet d’être doté de son second centre d’hémodialyse et il ne lui manque que des machines. Donc, les deux générateurs offerts avec leurs accessoires et des consommables et dont le prix est estimé à 19 millions donnent le ton. Les autorités de cet hôpital exhortent les entreprises à suivre les pas de la fondation Pamecas. « Nous faisons appel aux autres entreprises à suivre les pas de la fondation Pamecas car un appareil offert c’est cinq malades sauvés ».
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