La victime, une femme de 30 ans, est décédée au cours de son transfert vers la capitale, Monrovia. Une équipe médicale a immédiatement été envoyée dans la localité où elle vivait pour enquêter et identifier les personnes qui ont pu entrer en contact avec elle.
Impossible de dire pour le moment si ce nouveau cas est lié à la réapparition d'Ebola en Guinée voisine,
où le virus a tué sept personnes depuis fin février, non loin de la frontière libérienne.
Malgré ces récents décès, l'Organisation mondiale de la santé avait annoncé mardi 29 mars que l'épidémie d'Ebola en Afrique de l'ouest n'était plus une urgence de santé publique de portée internationale, tout en soulignant qu'il fallait s'attendre à des résurgences, notamment à cause de la persistance du virus chez certains survivants.
On ignore encore comment la première victime guinéenne, décédée fin février, a été contaminée. Mais les premières analyses montrent que les nouveaux cas guinéens proviennent d'une chaîne de transmission connue et non d'une nouvelle chaîne introduite par des animaux, souligne l'OMS.
Pour tenter de juguler cette résurgence, une vaste campagne de vaccination a été lancée : près de 800 des 1000 personnes identifiées comme susceptibles d'avoir été en contact avec ces malades ont déjà reçu le VSV-Ebov, l'un des candidats vaccins les plus prometteurs, déjà utilisé il y a quelques mois en Sierra Leone.
Source: Rfi.fr
Impossible de dire pour le moment si ce nouveau cas est lié à la réapparition d'Ebola en Guinée voisine,
où le virus a tué sept personnes depuis fin février, non loin de la frontière libérienne.
Malgré ces récents décès, l'Organisation mondiale de la santé avait annoncé mardi 29 mars que l'épidémie d'Ebola en Afrique de l'ouest n'était plus une urgence de santé publique de portée internationale, tout en soulignant qu'il fallait s'attendre à des résurgences, notamment à cause de la persistance du virus chez certains survivants.
On ignore encore comment la première victime guinéenne, décédée fin février, a été contaminée. Mais les premières analyses montrent que les nouveaux cas guinéens proviennent d'une chaîne de transmission connue et non d'une nouvelle chaîne introduite par des animaux, souligne l'OMS.
Pour tenter de juguler cette résurgence, une vaste campagne de vaccination a été lancée : près de 800 des 1000 personnes identifiées comme susceptibles d'avoir été en contact avec ces malades ont déjà reçu le VSV-Ebov, l'un des candidats vaccins les plus prometteurs, déjà utilisé il y a quelques mois en Sierra Leone.
Source: Rfi.fr
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