La jeune femme, placée en détention après son arrestation le 31 août à la sortie d'un cabinet médical de Rabat, assure avoir été soignée pour une hémorragie interne.
Son fiancé, qu'elle devait épouser cette semaine, a été arrêté en même temps qu'elle, tout comme le médecin traitant, un infirmier et une secrétaire.
Le procès de cette jeune journaliste marocaine pour "avortement illégal" et "débauche" (sexe hors mariage), a soulevé un débat indigné autour de la question des libertés individuelles au Maroc.
Des mouvements féministes mais aussi des organisations de défense des droits humains comme Amnesty international et Human Rights Watch ont appelé à libérer la journaliste au nom du respect des libertés individuelles.
"Je vais vers mon destin le coeur brisé et la tête haute", a déclaré la jeune femme à des proches venus la visiter en prison en fin de semaine dernière, rapporte le site Alyaoum24 appartenant au même groupe que son journal, considéré comme proche du parti islamiste PJD (à la tête du gouvernement).
Son fiancé, qu'elle devait épouser cette semaine, a été arrêté en même temps qu'elle, tout comme le médecin traitant, un infirmier et une secrétaire.
Le procès de cette jeune journaliste marocaine pour "avortement illégal" et "débauche" (sexe hors mariage), a soulevé un débat indigné autour de la question des libertés individuelles au Maroc.
Des mouvements féministes mais aussi des organisations de défense des droits humains comme Amnesty international et Human Rights Watch ont appelé à libérer la journaliste au nom du respect des libertés individuelles.
"Je vais vers mon destin le coeur brisé et la tête haute", a déclaré la jeune femme à des proches venus la visiter en prison en fin de semaine dernière, rapporte le site Alyaoum24 appartenant au même groupe que son journal, considéré comme proche du parti islamiste PJD (à la tête du gouvernement).
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