César avec le journaliste Demba Ndiaye à sa gauche
Après sa destitution, par le camp de Ousmane Niantang Diatta de la tête du commandement de l’aile armée du mouvement des Forces démocratiques de la Casamance, «Atika», César Atoute Badiatte se fait attendre à nouveau. Et ce n’est pas pour s’adresser à ses détracteurs, Ousmane Niantang et Nkrumah Sané, qu’il accuse de manipulation.
En effet le chef rebelle, César Atoute Badiatte rame à contre courant des autorités sénégalaises qui clamaient, récemment, via un communiqué, que des bases rebelles ont été détruites en Casamance. Pire, il va jusqu’à les narguer. «Je déclare que même si le Sénégal amenait la force Delta, il ne pourra jamais atteindre nos cantonnements», s’est-il vanté dans un communiqué signé le 24 juillet et rendu public ce week-end.
Pour le chef rebelle, « le communiqué que le Sénégal a donné à la presse et qui fait état de démantèlement, par l’armée sénégalaise, de bases du Mfdc est faux ». « Ces bases sont bien en position et nous demandons à l’armée de donner des preuves concrètes à la presse (armes, prisonniers et cadavres », a défié dans le communiqué César Badiatte.
A noter que cette sortie du chef rebelle survient après la mort d’un soldat, au cours d’un affrontement entre l’armée et les rebelles du MFDC.
En effet le chef rebelle, César Atoute Badiatte rame à contre courant des autorités sénégalaises qui clamaient, récemment, via un communiqué, que des bases rebelles ont été détruites en Casamance. Pire, il va jusqu’à les narguer. «Je déclare que même si le Sénégal amenait la force Delta, il ne pourra jamais atteindre nos cantonnements», s’est-il vanté dans un communiqué signé le 24 juillet et rendu public ce week-end.
Pour le chef rebelle, « le communiqué que le Sénégal a donné à la presse et qui fait état de démantèlement, par l’armée sénégalaise, de bases du Mfdc est faux ». « Ces bases sont bien en position et nous demandons à l’armée de donner des preuves concrètes à la presse (armes, prisonniers et cadavres », a défié dans le communiqué César Badiatte.
A noter que cette sortie du chef rebelle survient après la mort d’un soldat, au cours d’un affrontement entre l’armée et les rebelles du MFDC.
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