Une délégation de FRAPP/Banlieue a déposé une lettre de protestation contre les violences policières, ce lundi au commissariat de Thiaroye, banlieue de Dakar. Selon le communiqué parvenu à PressAfrik, après lecture de la lettre, la commissaire a demandé à sa secrétaire, de prendre leur numéro et leur demande de revenir demain à 11 heures.
Les membres du FRAPP/Banlieue se disent témoins de nouvelles bavures venant des hommes du commissariat de Thiaroye que ni la loi ni la morale ne cautionnent.
« En effet, il y a de cela quelques jours, plus précisément dans la nuit du vendredi au samedi 01 Mai 2020, vos éléments effectuaient au domicile de la famille «GNINGUE» sis à Nietty-mbar dans la commune de Djiddah kao une intervention des plus brutales ayant conduit à l’arrestation et à l’emprisonnement de deux jeunes espoirs (dont un encore mineur). Après observations des faits et recueille des témoignages, Il n’est nullement nécessaire d’être expert en applicabilité de la loi pour savoir que de la part de vos éléments il y a eu manquement quant au respect des droits fondamentaux et des plus élémentaires du citoyen », lit-on dans la lettre de protestation.
En tant que citoyens soucieux du respect des droits et libertés individuelles, mais surtout en tant qu’êtres humains sensibles à tout semblant de piétinement de la dignité humaine, la section BANLIEUE du FRAPP se voit face à cela, obligé de dénoncer jusqu’à la dernière goutte d’énergie cette violence policière qu’elle juge « bonne à bannir dans une société de droit et de justice ».
Toutefois, la section BANLIEUE du FRAPP invite madame le commissaire, et ses agents, à faire leur travail sans violences illégales et illégitimes. Car pour eux, la banlieue ne saurait pas être une zone de non-droit où des policiers se comportent comme en territoire conquis.
Les membres du FRAPP/Banlieue se disent témoins de nouvelles bavures venant des hommes du commissariat de Thiaroye que ni la loi ni la morale ne cautionnent.
« En effet, il y a de cela quelques jours, plus précisément dans la nuit du vendredi au samedi 01 Mai 2020, vos éléments effectuaient au domicile de la famille «GNINGUE» sis à Nietty-mbar dans la commune de Djiddah kao une intervention des plus brutales ayant conduit à l’arrestation et à l’emprisonnement de deux jeunes espoirs (dont un encore mineur). Après observations des faits et recueille des témoignages, Il n’est nullement nécessaire d’être expert en applicabilité de la loi pour savoir que de la part de vos éléments il y a eu manquement quant au respect des droits fondamentaux et des plus élémentaires du citoyen », lit-on dans la lettre de protestation.
En tant que citoyens soucieux du respect des droits et libertés individuelles, mais surtout en tant qu’êtres humains sensibles à tout semblant de piétinement de la dignité humaine, la section BANLIEUE du FRAPP se voit face à cela, obligé de dénoncer jusqu’à la dernière goutte d’énergie cette violence policière qu’elle juge « bonne à bannir dans une société de droit et de justice ».
Toutefois, la section BANLIEUE du FRAPP invite madame le commissaire, et ses agents, à faire leur travail sans violences illégales et illégitimes. Car pour eux, la banlieue ne saurait pas être une zone de non-droit où des policiers se comportent comme en territoire conquis.
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