Dans une interview accordée au média sportif So Foot, ce vendredi 21 avril, Iliman Ndiaye raconte son séjour au Sénégal, à l’âge de 11 ans. Le meilleur buteur de Sheffield United (D2 anglaise) raconte les souvenirs de son enfance au pays de la Téranga, ses enraiements à Dakar Sacré Cœur, sur les plages et sa première convocation en sélection.
« Je passais ma journée à dribbler, puis à terminer ces parcours par de la finition. On faisait aussi du freestyle, de la course. Pourquoi faisait-il tout ça avec moi ? Je pense que c’est lié au Sénégal. Quand j’avais un an, je suis parti habiter au Sénégal chez mon grand-père, pour voir la famille, et dans la maison, je shootais dans tout ce que je voyais par terre. Puis dans un ballon, mon premier, que mon grand-père m’a acheté. Ça part de là », a confié l’international sénégalais de 23 ans.
Iliman confie avoir perfectionné ses dribles et son physique au Sénégal. « C’était une période où je suis reparti seul voir la famille pendant un an au Sénégal, et je me disais : Je ne vais pas rien faire et perdre tout ce que j’avais travaillé jusque-là. J’allais à l’école là-bas, mais dès que je le pouvais, je continuais à jouer. Je m’entraînais sur le sable. La plage, ça m’a aidé à m’endurcir, à contrôler le ballon sur des surfaces hostiles, ça a musclé mon jeu », a-t-il expliqué.
« Je jouais notamment au Dakar Sacré-Cœur, et nous habitions à Cambérène avec ma tante, la grande sœur de mon père, tandis que mes grands-parents habitaient aux HLM. Mon petit frère reproduit exactement la même chose que moi en ce moment, il est au Sénégal, à l’école, il fait de l’athlétisme. J’ai appris le côté physique au Sénégal et la tactique en France, ce qui fait que quand je suis arrivé en Angleterre à 14 ans, je me suis retrouvé dans le style de jeu », a dit le milieu de terrain sénégalais.
« Quand j’ai vu mon nom dans la liste, c’était les émotions »
Convoqué pour disputer la Coupe du monde avec les « Lions », le natif de Rouen explique qu’il ne s’attendait pas à arriver si vite en sélection.
« Je ne m’attendais pas à y arriver si rapidement, mais j’ai bossé pour ça. Dès que j’ai entamé ma première saison en pro, c’était l’objectif. Quand j’ai vu mon nom dans la liste, c’était les émotions. J’étais avec mon père, et forcément, on a tout de suite repensé à tous ces entraînements faits ensemble, c’était notre récompense. À chaque fois que je vois mon nom dans la liste, c’est toujours aussi intense », a-t-il indiqué.
Le milieu de terrain de Sheffield United raconte ses premiers pas dans la Tanière.
« Quand je suis arrivé la première fois, les cadres m’ont très bien accueilli. C’est toujours un privilège de côtoyer certains des meilleurs joueurs au monde. Je me suis senti bien, même si je savais que je devais danser parce que j’étais un nouveau venu dans la sélection. J’ai essayé de faire quelques mouvements que m’avait appris mon père, mais ce n’était pas terrible. J’avais la pression, si aujourd’hui ils me demandent de le refaire, ça ira. Disons que dès que cette étape est passée, je me suis senti encore mieux », a confié Iliman Ndiaye.
« Je passais ma journée à dribbler, puis à terminer ces parcours par de la finition. On faisait aussi du freestyle, de la course. Pourquoi faisait-il tout ça avec moi ? Je pense que c’est lié au Sénégal. Quand j’avais un an, je suis parti habiter au Sénégal chez mon grand-père, pour voir la famille, et dans la maison, je shootais dans tout ce que je voyais par terre. Puis dans un ballon, mon premier, que mon grand-père m’a acheté. Ça part de là », a confié l’international sénégalais de 23 ans.
Iliman confie avoir perfectionné ses dribles et son physique au Sénégal. « C’était une période où je suis reparti seul voir la famille pendant un an au Sénégal, et je me disais : Je ne vais pas rien faire et perdre tout ce que j’avais travaillé jusque-là. J’allais à l’école là-bas, mais dès que je le pouvais, je continuais à jouer. Je m’entraînais sur le sable. La plage, ça m’a aidé à m’endurcir, à contrôler le ballon sur des surfaces hostiles, ça a musclé mon jeu », a-t-il expliqué.
« Je jouais notamment au Dakar Sacré-Cœur, et nous habitions à Cambérène avec ma tante, la grande sœur de mon père, tandis que mes grands-parents habitaient aux HLM. Mon petit frère reproduit exactement la même chose que moi en ce moment, il est au Sénégal, à l’école, il fait de l’athlétisme. J’ai appris le côté physique au Sénégal et la tactique en France, ce qui fait que quand je suis arrivé en Angleterre à 14 ans, je me suis retrouvé dans le style de jeu », a dit le milieu de terrain sénégalais.
« Quand j’ai vu mon nom dans la liste, c’était les émotions »
Convoqué pour disputer la Coupe du monde avec les « Lions », le natif de Rouen explique qu’il ne s’attendait pas à arriver si vite en sélection.
« Je ne m’attendais pas à y arriver si rapidement, mais j’ai bossé pour ça. Dès que j’ai entamé ma première saison en pro, c’était l’objectif. Quand j’ai vu mon nom dans la liste, c’était les émotions. J’étais avec mon père, et forcément, on a tout de suite repensé à tous ces entraînements faits ensemble, c’était notre récompense. À chaque fois que je vois mon nom dans la liste, c’est toujours aussi intense », a-t-il indiqué.
Le milieu de terrain de Sheffield United raconte ses premiers pas dans la Tanière.
« Quand je suis arrivé la première fois, les cadres m’ont très bien accueilli. C’est toujours un privilège de côtoyer certains des meilleurs joueurs au monde. Je me suis senti bien, même si je savais que je devais danser parce que j’étais un nouveau venu dans la sélection. J’ai essayé de faire quelques mouvements que m’avait appris mon père, mais ce n’était pas terrible. J’avais la pression, si aujourd’hui ils me demandent de le refaire, ça ira. Disons que dès que cette étape est passée, je me suis senti encore mieux », a confié Iliman Ndiaye.
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