L'ancien président centrafricain François Bozizé s'est adressé à la presse nationale et internationale lundi à Bangui.
Une première depuis son retour d'exil le 15 décembre dernier en RCA.
Pour l'ancien chef de l'Etat dont le mandat a été écourté par le coup de force de la rébellion Seleka en 2013, rien ne l'empêche de se présenter à la présidentielle de 2020.
« Le moment n'est pas venu, c'est mon parti qui pourra se prononcer sur les candidatures possibles » a expliqué François Bozizé.
L'ex-président affirme ne pas être inquiété par le mandat d'arrêt émis à son encontre en 2013.
« La justice suit son cours, si je dois répondre je vais répondre » soutient-il.
Outre le mandat d'arrêt, François Bozizé fait face à des sanctions du conseil de sécurité de l'ONU. Des sanctions qu'il estime infondées.
« J'ai quitté le pays dans les conditions que vous savez et c'est six ou huit mois après que les sanctions ont été émises, sur quelle base ? Je n'en sais rien » s'est défendu l'ancien président centrafricain.
Et François Bozizé de soutenir, « dans un contexte qui est passé, je considère que c'est caduque et que c'est le moment de demander que cela soit retiré. »
Accusé d'avoir joué un rôle trouble dans les évènements de 2013 marqués par de sanglants affrontements entre les milices Antibalaka et la nébuleuse Seleka, l'homme clame son innocence.
« Le phénomène Antibalaka s'est produit après moi, j'étais à Paris en ce moment. Ce n'est pas moi qui ai convoqué la Seleka en Centrafrique, ce n'est pas moi qui ai franchi la ligne rouge » s'est-il justifié.
Aujourd'hui, de retour au pays après 7 années d'exil en Ouganda, François Bozizé demande pardon au peuple centrafricain pour tous les torts commis pendant son règne.
Une première depuis son retour d'exil le 15 décembre dernier en RCA.
Pour l'ancien chef de l'Etat dont le mandat a été écourté par le coup de force de la rébellion Seleka en 2013, rien ne l'empêche de se présenter à la présidentielle de 2020.
« Le moment n'est pas venu, c'est mon parti qui pourra se prononcer sur les candidatures possibles » a expliqué François Bozizé.
L'ex-président affirme ne pas être inquiété par le mandat d'arrêt émis à son encontre en 2013.
« La justice suit son cours, si je dois répondre je vais répondre » soutient-il.
Outre le mandat d'arrêt, François Bozizé fait face à des sanctions du conseil de sécurité de l'ONU. Des sanctions qu'il estime infondées.
« J'ai quitté le pays dans les conditions que vous savez et c'est six ou huit mois après que les sanctions ont été émises, sur quelle base ? Je n'en sais rien » s'est défendu l'ancien président centrafricain.
Et François Bozizé de soutenir, « dans un contexte qui est passé, je considère que c'est caduque et que c'est le moment de demander que cela soit retiré. »
Accusé d'avoir joué un rôle trouble dans les évènements de 2013 marqués par de sanglants affrontements entre les milices Antibalaka et la nébuleuse Seleka, l'homme clame son innocence.
« Le phénomène Antibalaka s'est produit après moi, j'étais à Paris en ce moment. Ce n'est pas moi qui ai convoqué la Seleka en Centrafrique, ce n'est pas moi qui ai franchi la ligne rouge » s'est-il justifié.
Aujourd'hui, de retour au pays après 7 années d'exil en Ouganda, François Bozizé demande pardon au peuple centrafricain pour tous les torts commis pendant son règne.
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