L’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL), l’Ambassade de Suisse au Sénégal et l’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF) ont tenu une conférence de presse hier, jeudi 27 novembre 2014. La cérémonie a eu lieu au Cercle des Mess des Officiers, sis au Boulevard El Hadji Djily Mbaye à Dakar. Une rencontre qui entre dans le cadre de la présentation de « L’avènement des Cours en ligne ouverts et massifs (CLOM ou en anglais MOOCs) dans le numérique éducatif : défis et opportunités ».
C’est une innovation pédagogique qui permet potentiellement à des dizaines de milliers d’étudiants ou d’apprenants en formation continue de suivre en même temps et pendant quelques semaines le cours d’un enseignant. L’AUF entend ainsi favoriser l’innovation et l’expérimentation au sujet des CLOMs /MOOCs, comme elle l’a fait auparavant pour la formation ouverte et à distance (FOAD) avec pour objectif de susciter une offre francophone.
Dimitris Noukakis, Directeur du programme MOOCs pour l’Afrique: «Déjà en 2012, nous avons vu l’émergence des MOOCs. Nous avons reconnu qu’il y’ avait un potentiel pour travailler avec nos partenaires Africains et d’autres pays émergents. Travailler avec eux pour l’amélioration de l’enseignement supérieur. Mais aussi la diffusion des cours de bonne qualité aux universités du Sud en particulier de l’Afrique. Nous avons parlé avec nos partenaires Africains qui nous ont souligné le problème de la massification dans les universités.
Nous avons vu les MOOCs comme une possible réponse aux questions de massification ». «Une façon de faire est d’utiliser le numérique éducatif, le MOOCs pour enseigner à tous ces étudiants », poursuit-il. Les projets de CLOMs / MOOCs débouchant sur une certification par l’intermédiaire d’un examen surveillé (l’AUF prenant en charge si nécessaire son organisation) seront favorisés. Un partenariat avec une autre université, la société civile ou le secteur privé est également encouragé.
C’est une innovation pédagogique qui permet potentiellement à des dizaines de milliers d’étudiants ou d’apprenants en formation continue de suivre en même temps et pendant quelques semaines le cours d’un enseignant. L’AUF entend ainsi favoriser l’innovation et l’expérimentation au sujet des CLOMs /MOOCs, comme elle l’a fait auparavant pour la formation ouverte et à distance (FOAD) avec pour objectif de susciter une offre francophone.
Dimitris Noukakis, Directeur du programme MOOCs pour l’Afrique: «Déjà en 2012, nous avons vu l’émergence des MOOCs. Nous avons reconnu qu’il y’ avait un potentiel pour travailler avec nos partenaires Africains et d’autres pays émergents. Travailler avec eux pour l’amélioration de l’enseignement supérieur. Mais aussi la diffusion des cours de bonne qualité aux universités du Sud en particulier de l’Afrique. Nous avons parlé avec nos partenaires Africains qui nous ont souligné le problème de la massification dans les universités.
Nous avons vu les MOOCs comme une possible réponse aux questions de massification ». «Une façon de faire est d’utiliser le numérique éducatif, le MOOCs pour enseigner à tous ces étudiants », poursuit-il. Les projets de CLOMs / MOOCs débouchant sur une certification par l’intermédiaire d’un examen surveillé (l’AUF prenant en charge si nécessaire son organisation) seront favorisés. Un partenariat avec une autre université, la société civile ou le secteur privé est également encouragé.
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