« Le régime de Macky Sall a refusé d’ouvrir un dialogue sur les réformes constitutionnelles et a préféré précipiter l’organisation du référendum pour lequel un déluge de milliards déversés auprès des populations prises dans des trappes de pauvreté et de précarité s’est soldé par le résultat suivant : seul un sénégalais sur quatre lui ont dit Oui. Les assises nationales ont été organisées dans ce pays et ont abouti à la signature de la Charte de gouvernance démocratique par Macky Sall et les chefs politiques de Benno Bokk Yakaar. Les conclusions des assises nationales restent valables dans notre Sénégal de 2016 ». Voila, entre autres raisons qui ont poussé Mamadou Lamine Diallo et ses compagnons à boycotter l’événement qu’ils qualifient de « farce pour l’extérieur ».
M. Diallo de poursuivre, «ce soi-disant dialogue, en réalité une opération de propagande, est destiné à rassurer les partenaires extérieurs de Macky Sall, maîtres d’œuvre des changements proposés dans la Constitution, notamment le respect des droits d’autrui face au mauvais résultat obtenu et à diviser l’opposition en une voie d’unité politique ». Le mouvement Tekki estime qu’un dialogue doit se faire : « dans la transparence du processus électoral dans le cadre du respect strict du calendrier électoral.
En outre, la création d’un organe indépendant pour l’organisation des élections mentionnées dans la charte de gouvernement démocratique des Assises nationales et acceptée de nos jours par l’opposition, doit être mise en œuvre sans délai. Tout le reste n’est que diversion », a-t-il martelé.
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M. Diallo de poursuivre, «ce soi-disant dialogue, en réalité une opération de propagande, est destiné à rassurer les partenaires extérieurs de Macky Sall, maîtres d’œuvre des changements proposés dans la Constitution, notamment le respect des droits d’autrui face au mauvais résultat obtenu et à diviser l’opposition en une voie d’unité politique ». Le mouvement Tekki estime qu’un dialogue doit se faire : « dans la transparence du processus électoral dans le cadre du respect strict du calendrier électoral.
En outre, la création d’un organe indépendant pour l’organisation des élections mentionnées dans la charte de gouvernement démocratique des Assises nationales et acceptée de nos jours par l’opposition, doit être mise en œuvre sans délai. Tout le reste n’est que diversion », a-t-il martelé.
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