La deuxième participation de l’équipe nationale de football du Sénégal à la Coupe du monde 2018, organisée en Russie constitue sans doute le point culminant de cette année. En passant des frustrations nées de cette élimination prématurée de l’équipe, toutefois, les qualifications pour la Coupe d’Afrique des nations 2019 prévue au Cameroun ne seront pas en reste.
Sadio Mané et Cie n’ont certainement pas fait mieux que leurs aînés qui avaient hissé fièrement le drapeau du football sénégalais jusqu’en quarts de finales du mondial de 2002 à Séoul. Mais, ils ont quand même tenu en haleine les férus de la discipline pour un moment.
Les protégés de Cissé, s’ils ont démarré la compétition mondiale par une victoire aux dépens de la Pologne (2-1), les « Lions » ont ensuite baissé la garde en se la jouant au nul avec le Japon (2-2), avant de s’incliner face à la Colombie (0-1). Ce denier à qui une qualification en huitièmes semblait être largement à leur portée, et tant attendu par un peuple soif de trophée.
Qu’est ce qu’ils ont fait ? Ils ont tout simplement été éliminés dès le premier tour de la compétition, par faute de cartons comparé au japonnais avec qui ils avaient le même points. Une première dans l’histoire de football mondial. Conformément au règlement, ils sont départagés au classement du fair-play, favorable au Japon (4 cartons jaunes contre 6). Le Sénégal devient ainsi le premier pays éliminé au nombre de cartons.
Diafra Sakho, lui a pris la décision d’arrêter avec l’équipe nationale. Il estime qu’il n’a pas été bien traité par le coach alors qu’il a qualifié l’équipe en Coupe du monde. Kara, quand à lui, il n’a pas aimé sa non titularisation lors de la coupe du monde.
Le défenseur sénégalais n’a pas joué lors des 3 matchs de poule du Sénégal au mondial. Donc, l’ancien jouer de Diambars affirme qu’il a été sacrifié pour l’intérêt de certains, dans les colonnes de Stade. Des propos qu’il a démentis en postant un message sur son compte Instagram.
"Je tenais juste à démentir les propos du journal Stades selon lequel j’aurais dit que l’on m’a sacrifié pour l’intérêt de certains au Mondial. J’ai dit que j’étais prêt à 100% sur le plan physique pour défendre les couleurs de mon pays mais que le coach a fait des choix que je respecte. Mais absolument pas ce que je vois dans ce journal. La page du Mondial est tournée je profite de mes derniers jours de vacances en famille avant de rentrer et me préparer pour ma nouvelle saison", a t-il écrit sur le Réseau social.
Parlant de son ex-coéquipier de 2002, il a estimé qu’il a répété les mêmes erreurs que celles de la CAN 2017. « Après le premier match, j’avais alerté. J’avais dit qu’on a été en place mais pour gagner des matchs il faut oser prendre des responsabilités et notre entraîneur ne l’a pas fait », a-t-il indiqué. Tant que cette équipe aura à sa tête un sélectionneur comme Aliou Cissé, elle n'ira nulle part. Elle ne progressera jamais. »
Sadio Mané et Cie n’ont certainement pas fait mieux que leurs aînés qui avaient hissé fièrement le drapeau du football sénégalais jusqu’en quarts de finales du mondial de 2002 à Séoul. Mais, ils ont quand même tenu en haleine les férus de la discipline pour un moment.
Les protégés de Cissé, s’ils ont démarré la compétition mondiale par une victoire aux dépens de la Pologne (2-1), les « Lions » ont ensuite baissé la garde en se la jouant au nul avec le Japon (2-2), avant de s’incliner face à la Colombie (0-1). Ce denier à qui une qualification en huitièmes semblait être largement à leur portée, et tant attendu par un peuple soif de trophée.
Qu’est ce qu’ils ont fait ? Ils ont tout simplement été éliminés dès le premier tour de la compétition, par faute de cartons comparé au japonnais avec qui ils avaient le même points. Une première dans l’histoire de football mondial. Conformément au règlement, ils sont départagés au classement du fair-play, favorable au Japon (4 cartons jaunes contre 6). Le Sénégal devient ainsi le premier pays éliminé au nombre de cartons.
Les frustrations nées post-mondialAprès l'élimination du Sénégal au premier tour, à l'issue du match perdu face à la Colombie (0-1), certains joueurs n'ont pas caché leurs amertumes. Et c’est le cas du milieu de terrain Idrissa Gana Gueye qui en a profité pour régler ses comptes avec la presse, tandis que Kara Mbodj et Diafra Sakho ont carrément montré qu'ils en voulaient à Aliou Cissé.
Diafra Sakho, lui a pris la décision d’arrêter avec l’équipe nationale. Il estime qu’il n’a pas été bien traité par le coach alors qu’il a qualifié l’équipe en Coupe du monde. Kara, quand à lui, il n’a pas aimé sa non titularisation lors de la coupe du monde.
Le défenseur sénégalais n’a pas joué lors des 3 matchs de poule du Sénégal au mondial. Donc, l’ancien jouer de Diambars affirme qu’il a été sacrifié pour l’intérêt de certains, dans les colonnes de Stade. Des propos qu’il a démentis en postant un message sur son compte Instagram.
"Je tenais juste à démentir les propos du journal Stades selon lequel j’aurais dit que l’on m’a sacrifié pour l’intérêt de certains au Mondial. J’ai dit que j’étais prêt à 100% sur le plan physique pour défendre les couleurs de mon pays mais que le coach a fait des choix que je respecte. Mais absolument pas ce que je vois dans ce journal. La page du Mondial est tournée je profite de mes derniers jours de vacances en famille avant de rentrer et me préparer pour ma nouvelle saison", a t-il écrit sur le Réseau social.
Le coach Aliou Cissé taxé d’incapable et la Fédé ponté du doigtSuite à l’élimination du Sénégal, Elhadj Diouf n’a pas manqué lui de trouver des coupables. Et selon lui, c’est la Fédération sénégalaise de Football (FSF) et Aliou Cissé qui sont responsables de l’élimination précoce des lions du Sénégal à la Coupe du Monde 2018. « S’il y a échec soit c’est l’organisation soit c’est l’entraîneur qui n’était pas à la hauteur », a laissé entendre l’ancien attaquant des lions.
Parlant de son ex-coéquipier de 2002, il a estimé qu’il a répété les mêmes erreurs que celles de la CAN 2017. « Après le premier match, j’avais alerté. J’avais dit qu’on a été en place mais pour gagner des matchs il faut oser prendre des responsabilités et notre entraîneur ne l’a pas fait », a-t-il indiqué. Tant que cette équipe aura à sa tête un sélectionneur comme Aliou Cissé, elle n'ira nulle part. Elle ne progressera jamais. »
La CAN 2019, une consolation pour les férus de la disciplineLes vaillants et infatigables supporters peuvent néanmoins se consoler de la qualification de l’équipe nationale du Sénégal à la CAN 2019, dont le nom du pays organisateur sera dévoilé en janvier à Dakar en marge de l’organisation annuelle des CAF Awards. Surtout que la course à la première place qui était l’unique enjeu de cette 5e et avant dernière journée des Éliminatoires de la Can 2019. Le moins que l’on puisse dire est que la hiérarchie est respectée. Grand favori du groupe, le Sénégal a sagement garder la première place malgré sa victoire laborieuse contre la Guinée équatoriale (1-0).
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