« En dépit des changements dans l’agenda politique du pays, le gouvernement a mis tout en œuvre pour une organisation parfaite de cette rencontre » a dit Babacar TOURE dans son allocution d’ouverture en remerciant « les membres du comité d’organisation qui dans l’ombre ont abattu un travail énorme pour la réussite de ce séminaire ce qui n’était pas évident car la particularité du CNRA c’est qu’aujourd’hui nous ne disposons pas encore de la plénitude de nos capacités d’intervention ». Il a aussi expliqué que « des membres du conseil n’étant pas encore désignés, une équipe de baroudeurs trouvée sur place qui sont même en fin de mandat sont restés sur place pour nous accompagner pour une bonne organisation de ce séminaire ».
Cela n’est pas certainement tombé dans l’oreille d’un sourd car le Premier ministre dira que « l’échéance est proche (juin 2015), or l’enjeu est immense, tout comme les défis techniques ».
Il est important de donner tous les moyens nécessaires aux institutions concernées au Sénégal car pour M. Michel BOYON, président du Conseil supérieur de l’audiovisuel français (CSA) et Secrétaire permanent du REFRAM, « il ne faut pas s’en remettre à des opérateurs étrangers pour des raisons de commodités car c’est une question de culture et de souveraineté ».
Dans la même lancée Abdou DIOUF Secrétaire général de la Francophonie a dans son message lu par son représentant attiré l’attention des décideurs, « il ne faut pas se précipiter, il faut se garder des offres de fournisseurs peu soucieux de l’intérêt national ».
Avec les mutations en vue, Babacar TOURE dira qu’il « est urgent de définir du point de vue technique, économique et juridique la nouvelle frontière entre le monde des télécommunications et celui de l’audiovisuel et poser de nouvelles orientations pour les missions confiées traditionnellement aux autorités de régulations du secteur de l’audiovisuel en veillant surtout aux valeurs qui constituent le socle de notre société comme la préservation du pluralisme, le respect de l’éthique et de la déontologie dans le traitement de l’information, la conception des programmes, la lutte contre la discrimination, les incitations à la haine et à la violence, la protection de l’enfance et de l’adolescence, la promotion des langues nationales et des diversités culturelles ».
Durant deux jours des experts d’Afrique et d’ailleurs vont faire l’état des lieux, présenter des normes de diffusion en cas de passage de l’analogie au numérique mais aussi l’accompagnement des populations avec des recommandations qui seront remises aux décideurs.
Cela n’est pas certainement tombé dans l’oreille d’un sourd car le Premier ministre dira que « l’échéance est proche (juin 2015), or l’enjeu est immense, tout comme les défis techniques ».
Il est important de donner tous les moyens nécessaires aux institutions concernées au Sénégal car pour M. Michel BOYON, président du Conseil supérieur de l’audiovisuel français (CSA) et Secrétaire permanent du REFRAM, « il ne faut pas s’en remettre à des opérateurs étrangers pour des raisons de commodités car c’est une question de culture et de souveraineté ».
Dans la même lancée Abdou DIOUF Secrétaire général de la Francophonie a dans son message lu par son représentant attiré l’attention des décideurs, « il ne faut pas se précipiter, il faut se garder des offres de fournisseurs peu soucieux de l’intérêt national ».
Avec les mutations en vue, Babacar TOURE dira qu’il « est urgent de définir du point de vue technique, économique et juridique la nouvelle frontière entre le monde des télécommunications et celui de l’audiovisuel et poser de nouvelles orientations pour les missions confiées traditionnellement aux autorités de régulations du secteur de l’audiovisuel en veillant surtout aux valeurs qui constituent le socle de notre société comme la préservation du pluralisme, le respect de l’éthique et de la déontologie dans le traitement de l’information, la conception des programmes, la lutte contre la discrimination, les incitations à la haine et à la violence, la protection de l’enfance et de l’adolescence, la promotion des langues nationales et des diversités culturelles ».
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