
La fraude sur l’électricité coûte cher à la Senelec avec des pertes estimées à 20 milliards de Fcfa. Raison pour laquelle la direction générale prône pour l’adoption d’une loi visant à considérer la fraude sur l’électricité comme un détournement de deniers publics. À l’état de projet, la proposition est actuellement sur la table de la tutelle au ministère de l’Energie et des Mines. Mais le plus cocasse dans cette affaire de fraude sur l’électricité, c’est que les profils ne concernent pas seulement le Sénégalais lambda. Des agents de la Senelec se sucrent bien sur le dos de leur entreprise par des pratiques peu orthodoxes informe le journal « L’As ».
Une source révèle même que la femme d’un responsable de la Senelec en fait un usage sidérant, alors que la norme veut que l’usage soit seulement personnel. Toutes choses qui ont amené la Direction générale à vouloir limiter la casse. En tout cas, si cette proposition de loi veille d’une dizaine d’années passe, le Sénégal risque de se mettre à l’école rwandaise. Au pays de Paul Kagamé. Si vous commettez
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