Depuis lundi, la commission électorale reçoit les résultats du premier tour de la présidentielle qui proviennent des bureaux de vote de la capitale et de l’intérieur du pays. Cela prend du temps, il lui faut collecter l’ensemble des procès-verbaux pour pouvoir compiler les résultats. Selon l’article 74 du Code électoral, la Céni dispose de deux semaines pour proclamer les résultats provisoires, ce qui nous amène au 23 avril.
Il faudra également patienter pour avoir une idée du taux de participation à ce scrutin.
En attendant, ce lundi, certains partis politiques ont communiqué à la presse leur évaluation de cette journée de vote.
Au MPS, le parti du président sortant, Idriss Déby, on salue « une mobilisation en masse » des citoyens qui est déjà « une victoire de la démocratie », souligne Mahamat Zen Bada, le directeur de campagne d’Idriss Déby. « Nous regrettons certains actes dont les membres de nos délégations ont été victimes dans la ville Moundou, où le secrétaire du MPS a été molesté », déplore-t-il cependant. Ce responsable appelle les autres formations politiques au respect des règles démocratiques.
Dans l'opposition, le bilan est bien différent. De son côté, le CAP-SUR, le parti de Djimrangar Dadnaji, dénonce « des ratés sciemment orchestrés par le MPS » lors de ce scrutin. Son directeur de campagne Jean-Calvin Robenat critique pêle-mêle l’absence de procès-verbaux dans certains bureaux de vote de la capitale, des cas de bourrage d’urnes et surtout la perturbation des réseaux de communication, ces derniers jours.
Source: Rfi.fr
Il faudra également patienter pour avoir une idée du taux de participation à ce scrutin.
En attendant, ce lundi, certains partis politiques ont communiqué à la presse leur évaluation de cette journée de vote.
Au MPS, le parti du président sortant, Idriss Déby, on salue « une mobilisation en masse » des citoyens qui est déjà « une victoire de la démocratie », souligne Mahamat Zen Bada, le directeur de campagne d’Idriss Déby. « Nous regrettons certains actes dont les membres de nos délégations ont été victimes dans la ville Moundou, où le secrétaire du MPS a été molesté », déplore-t-il cependant. Ce responsable appelle les autres formations politiques au respect des règles démocratiques.
Dans l'opposition, le bilan est bien différent. De son côté, le CAP-SUR, le parti de Djimrangar Dadnaji, dénonce « des ratés sciemment orchestrés par le MPS » lors de ce scrutin. Son directeur de campagne Jean-Calvin Robenat critique pêle-mêle l’absence de procès-verbaux dans certains bureaux de vote de la capitale, des cas de bourrage d’urnes et surtout la perturbation des réseaux de communication, ces derniers jours.
Source: Rfi.fr
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