Cette année 2016 a été marquée par de graves violations des droits humains, qui sont liées à la crise post-électorale, mais aussi des violations graves qui ne sont pas liées à cette question. Nous constatons que des milliers de Congolais restent privés de l'essentiel. L'emploi des jeunes, tant promis, reste une utopie. L'accès aux soins de santé est difficile. L'accès à l'éducation, au droit à un logement décent, très difficile. Les communautés locales et populations autochtones continuent d'être spoliées de leurs terres, du fait des multinationales avec la complicité de nos autorités. L'accès à l'eau, à l'électricité, n'est pas satisfaisant. Qu'il s'agisse des droits civils et politiques, ou des droits économiques et socio-culturels, le triste constat, c'est la persistance des violations des droits humains au Congo-Brazzaville.
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