Le Sénégal fait beaucoup d’effort pour répondre aux critères internationaux dans le domaine sportifsurtout en matière d’infrastructure, mais il reste encore énormément de chose à faire. La prestation des différentes équipes du Sénégal que ce soit au football, au basket et le beach soccer, prouvent à suffisance le niveau du pays sur le continent. Et certes, l’Etat déploie des moyens colossaux pour le développement du sport surtout avec l’octroi des JOJ 2022 au pays de la Téranga. Mais la question qui se pose est de savoir, ces moyens sont-ils suffisant et comment les organiser sport pour obtenir des résultats probants ?
Le manque d’infrastructure adéquate, un frein au développement du sport sénégalais
En effet, le manque d’infrastructure dans le domaine sportif est général sur le continent africain. Souligner le cas du Sénégal en particulier, s’explique par le fait que le pays possède un niveau sportif nettement en avance par rapport à son organisation en matière d’infrastructure. Ce qui laisse à dire que, si cet aspect est bien structuré et bien géré accompagné d’une véritable politique sportive ce qui n’est pas tout à fait le cas, le Sénégal planera sans doute au sommet du sport africain. Tout comme le casino en ligne , le sport n’est une science exact, mais le bon travail est toujours bien récompensé. Depuis la CAN 1992, le pays ne semble toujours pas prêt pour accueillir le plus grand rendez-vous sportif continental, faute d’infrastructure bien sûr. Cependant, il y a eu tout de même la construction de quelques stades municipaux, du Dakar Arena (qui a abrité l’Afrobasket 2019) et de l’Arène National qui va sans doute, donner un coup de pouce à lutte traditionnel qui est un sport, plutôt national.
L’apport des infrastructures sur les performances des équipes
En Afrique le constat est très pertinent, les pays avec moins d’infrastructures sportives ne parviennent pas à être régulier et à se maintenir au haut niveau. Aujourd’hui, la plupart des pays africains ont des joueurs binationaux et aussi beaucoup d’expatriés dans leur effectif. Cela fait certes, rehausser le niveau du foot africain, mais il est clair que si dans chacun de nos pays, nous avions des infrastructures adéquates avec une bonne gestion, on aurait eu un très bon niveau comme c’est le cas en Afrique du Sud ou dans les pays Maghrébins. Avec l’organisation des compétitions et tournois continentaux (UFOA, tournoi UEMOA, CHAN, Coupe CEMAC…) il y a une certaine volonté de de la CAF de prendre leschoses en mains. Mais le constat est crispant, car le niveau de ces compétitions est loin d’obtenir la moyenne. A cela s’ajoute la mauvaise qualité des pelouses, ce qui réduit considérablement la qualité du jeu et provoque souvent des blessures chez certains joueurs.
Ce qu’il faut au Sénégal pour remporter un trophée continental
Plusieurs analyses font état de réorganisation internesou d’autres aspects pour enfin au moins obtenir un trophée continental, notamment la CAN. Mais de toute évidence, la meilleure solution restera d’avoir des infrastructures adéquates, adaptées pour chaque discipline sportive surtout pour le football. Ensuite, il faut de la régularité, pas seulement en terme de participation aux compétitions, mais en terme de jeu produit et de pouvoir atteindre le dernier carré lors des grands rendez-vous. Certes le pays a connu des grands footballeurs, basketteurs et bien d’autres ; mais selon les statistiques, sur les 34 éditions de CAN, aucun joueurs Sénégalais ne figurent sur la liste des meilleurs buteurs du tournoi encore moi celle des meilleurs joueurs de la CAN (celui de 2002, avait été décerné à Rigobert Song Bahanag. Là aussi ce sont des aspects à améliorer, car une équipe doitaussi savoir compter sur les qualités individuelles de ces cadres.
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