Les jeunes diplômés chômeurs du Sénégalais sont très amers contre les autorités de leur pays "qui ne font aucun effort pour les sortir de la situation" apocalyptique qu'ils vivent. "Si le président de la République ne nous reçoit pas d'ici quelques jours pour discuter des solutions idoines et pérennes, nous nous ferons entendre", ont menacé ces jeunes qui indiquent qu'ils maîtrisent les contours de leur combat.
En conférence de presse hier à l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar, ces jeunes, qui ont porté sur les fonds baptismaux la plateforme nationale de la jeunesse (PNJ), ont menacé de porter plainte contre l'Etat du Sénégal pour "non-respect de l'équité" auprès du haut conseil de l'Etat (HCE).
Si cette solution ne passe pas, ces jeunes entendent passer à la vitesse supérieure en mobilisant tous les jeunes du Sénégal pour enclencher "une révolution". Le coordonnateur de ce cette plateforme, Mbaye Dieng, se dit convaincu que des solutions pour trouver du boulot aux jeunes diplômés chômeurs existent. Mais l'Etat ne "met pas trop de sérieux" dans la politique de jeunesse. Pour étayer leur propos, Mamadou Diallo soutiendra qu'une étude de la Banque mondiale a révélé que c'est seulement un pour cent du budget du Sénégal qui est consacré aux jeunes.
Par ailleurs, ils ont récusé le haut conseil pour l'emploi qui a été une démarche "unilatérale". Pour ces jeunes, les solutions doivent provenir des propositions de la jeunesse. C'est dans ce cadre que la plateforme nationale de la jeunesse a théorisé la formule du salaire impératif qui s'élèvera à 15000 FCFA.
En conférence de presse hier à l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar, ces jeunes, qui ont porté sur les fonds baptismaux la plateforme nationale de la jeunesse (PNJ), ont menacé de porter plainte contre l'Etat du Sénégal pour "non-respect de l'équité" auprès du haut conseil de l'Etat (HCE).
Si cette solution ne passe pas, ces jeunes entendent passer à la vitesse supérieure en mobilisant tous les jeunes du Sénégal pour enclencher "une révolution". Le coordonnateur de ce cette plateforme, Mbaye Dieng, se dit convaincu que des solutions pour trouver du boulot aux jeunes diplômés chômeurs existent. Mais l'Etat ne "met pas trop de sérieux" dans la politique de jeunesse. Pour étayer leur propos, Mamadou Diallo soutiendra qu'une étude de la Banque mondiale a révélé que c'est seulement un pour cent du budget du Sénégal qui est consacré aux jeunes.
Par ailleurs, ils ont récusé le haut conseil pour l'emploi qui a été une démarche "unilatérale". Pour ces jeunes, les solutions doivent provenir des propositions de la jeunesse. C'est dans ce cadre que la plateforme nationale de la jeunesse a théorisé la formule du salaire impératif qui s'élèvera à 15000 FCFA.
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