L'arrivée à Dakar, le jeudi dernier, du Secrétaire général national du PDS Son Excellence Me Abdoulaye Wade m'a trouvé dans un état d'alitement. Le soir, au moment de siroter mon thé, comme à l'accoutumée, j'écoutais pendant ce temps-là sur zik fm, tantôt sur Rfm, la déclaration de Me Wade tenue à la permanence de son parti Mamadou Lamine Badji. Une déclaration au cours de laquelle, il invitait ses militants et sympathisants à brûler leurs cartes d'électeurs et les bulletins de vote. La presse nationale, les réseaux sociaux, les habitués des grand-places et les Sénégalais de tout bord, en faisaient largement écho.
Et c'est l'occasion, hic et nunc, de rebondir sur l'auteur de l'article: <<Présidentielle 2019: Me Abdoulaye Wade, trouble-fête !>> dans lequel Mr Mamadou Diop y analyse avec acuité la constance de Me Wade dans le jeu électoral et qu'il convient indubitablement de magnifier la quintessence d'une telle contribution. Cependant, qualifier Me Wade, dans ses déclarations, d'impertinence me semble, mon cher Mamadou, abracadabran ! Il s'agit simplement, pour l'ancien président, d'une rhétorique que bon nombre de Sénagalais ont du mal à disséquer. Et pour s'en convaincre, je vous invite à réécouter ses propos tenus à Touba devant le khalife général des Mourides Serigne Mountakha Bassirou Mbacké le vendredi dernier. Le patron du PDS ne saurait cautionner ni adopter une telle position.
Et mieux encore en faisant référence à l'oeuvre nietzschéenne intitulée "Langage et interprétation" qui offre une large part à la nature du langage ainsi qu'à l'interprétation. Cette dernière reçoit une attention particulière. Nietzsche la présente comme la tâche dévolue à la lecture accomplie par tout esprit libre. Ainsi, au regard de la pensée Nietzschéenne, il convient dès lors de constater que la pensée d'un penseur est toujours à un saut plus loin par les signes du discours formulé. Et c'est là Mamadou que le président Wade a eu raison sur les Sénégalais n'ayant pas pris le soin d'interroger l'histoire pour s'en référer. Ainsi donc, il ne fut point impertinent dans ses déclarations !
En tout cas, l'observateur avertit ne s'y trompe pas !
Suivez mon regard mes chers amis et bonne lecture !
(1) Mamdou Diop est l'auteur de l'article cité en référence et paru dans le site de senenews du 10 février 2019
Et c'est l'occasion, hic et nunc, de rebondir sur l'auteur de l'article: <<Présidentielle 2019: Me Abdoulaye Wade, trouble-fête !>> dans lequel Mr Mamadou Diop y analyse avec acuité la constance de Me Wade dans le jeu électoral et qu'il convient indubitablement de magnifier la quintessence d'une telle contribution. Cependant, qualifier Me Wade, dans ses déclarations, d'impertinence me semble, mon cher Mamadou, abracadabran ! Il s'agit simplement, pour l'ancien président, d'une rhétorique que bon nombre de Sénagalais ont du mal à disséquer. Et pour s'en convaincre, je vous invite à réécouter ses propos tenus à Touba devant le khalife général des Mourides Serigne Mountakha Bassirou Mbacké le vendredi dernier. Le patron du PDS ne saurait cautionner ni adopter une telle position.
Et mieux encore en faisant référence à l'oeuvre nietzschéenne intitulée "Langage et interprétation" qui offre une large part à la nature du langage ainsi qu'à l'interprétation. Cette dernière reçoit une attention particulière. Nietzsche la présente comme la tâche dévolue à la lecture accomplie par tout esprit libre. Ainsi, au regard de la pensée Nietzschéenne, il convient dès lors de constater que la pensée d'un penseur est toujours à un saut plus loin par les signes du discours formulé. Et c'est là Mamadou que le président Wade a eu raison sur les Sénégalais n'ayant pas pris le soin d'interroger l'histoire pour s'en référer. Ainsi donc, il ne fut point impertinent dans ses déclarations !
En tout cas, l'observateur avertit ne s'y trompe pas !
Suivez mon regard mes chers amis et bonne lecture !
(1) Mamdou Diop est l'auteur de l'article cité en référence et paru dans le site de senenews du 10 février 2019
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