C’est un garde du corps du gouverneur de la province de Kandahar qui a ouvert le feu, affirment plusieurs sources sécuritaires. L’homme a commencé à tirer au moment où les hauts responsables réunis pour discuter de la sécurité des bureaux de vote samedi quittaient les lieux.
Le général Raziq, chef de la police de la province de Kandahar, a été tué par des balles reçues dans le dos. Plusieurs autres personnalités de haut rang ont été touchées dans les échanges de tirs qui ont suivi. C’est le cas du chef provincial du NDS, les services de renseignement afghan, de plusieurs généraux, de hauts gradés de l’armée. Le général américain Scott Miller, en poste depuis un peu plus d’un mois seulement, et également présent sur les lieux, n’a pas été touché, fait savoir le service de communication de l’Otan en Afghanistan.
Cette attaque a été revendiquée par les talibans qui se sont fendus de plusieurs messages ces derniers jours pour inciter la population à ne pas aller voter, pour inciter les mollahs et les enseignants à s’opposer au scrutin. Ils promettent de s’en prendre aux forces gouvernementales, et ont multiplié au cours des semaines passées les attaques contre des candidats aux élections ou encore contre des figures gouvernementales telles que le général Raziq, qui était l’un de leurs plus fervents détracteurs .
Le général Raziq, chef de la police de la province de Kandahar, a été tué par des balles reçues dans le dos. Plusieurs autres personnalités de haut rang ont été touchées dans les échanges de tirs qui ont suivi. C’est le cas du chef provincial du NDS, les services de renseignement afghan, de plusieurs généraux, de hauts gradés de l’armée. Le général américain Scott Miller, en poste depuis un peu plus d’un mois seulement, et également présent sur les lieux, n’a pas été touché, fait savoir le service de communication de l’Otan en Afghanistan.
Cette attaque a été revendiquée par les talibans qui se sont fendus de plusieurs messages ces derniers jours pour inciter la population à ne pas aller voter, pour inciter les mollahs et les enseignants à s’opposer au scrutin. Ils promettent de s’en prendre aux forces gouvernementales, et ont multiplié au cours des semaines passées les attaques contre des candidats aux élections ou encore contre des figures gouvernementales telles que le général Raziq, qui était l’un de leurs plus fervents détracteurs .
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