Parmi ces femmes et des hommes politiques, des chefs traditionnels ou religieux, des syndicalistes et des journalistes figuraient notamment l'ancien Premier ministre Abdallah Hamdok, Maryam Sadek al Mahdi représentant le parti Oumma ou encore le sultan de la communauté masalit.
Le mouvement Justice et Égalité, était représenté par son secrétaire général, Ahmed Mohamed Tugod Lissan. Il dresse un premier bilan positif de cette réunion. « La réunion a été bonne. Son objectif principal était de rassembler un très grand nombre de partis politiques pour réfléchir aux moyens capables de faire avancer le processus politique au Soudan. En même temps, cette question a été discutée dans le cadre d'un cessez-le-feu, et tout en abordant les questions humanitaires. »
Le secrétaire général du mouvement Justice et Égalité explique que les discussions portaient sur trois axes principaux : « Le premier : réfléchir à la manière d'arrêter les hostilités et aux principes de base qui aideraient les parties en lutte à entrer dans un processus conduisant à un cessez-le-feu et à une cessation des hostilités. Le second consiste à réfléchir à la façon de s'entendre sur un projet politique qui instaure la période post-guerre. Le dernier : réfléchir à la manière de reconstruire le pays après la fin de la guerre. »
« Cette conférence sur l'aide humanitaire arrive au bon moment »
L'ancien Premier ministre Abdallah Hamdok dirige maintenant Taqaddum, la coordination des forces civiles démocratiques. Comme tous les acteurs de la société civile soudanaise, il a insisté sur la nécessité d'une résolution pacifique au conflit. Il remercie la communauté internationale d'avoir organisé la conférence humanitaire à Paris : « Cette conférence intervient au moment où le Soudan a cruellement besoin du soutien international, car nous traversons une situation catastrophique. Elle attire l'attention du monde sur le désastre auquel le Soudan est confronté et qui menace la vie de millions de personnes. Plus de 20 millions de Soudanais risquent de mourir de faim. Cette conférence sur l'aide humanitaire arrive au bon moment. Nous remercions la France, l'Allemagne et l'Union européenne pour l'avoir organisée. »
L'ancien Premier ministre explique vouloir toucher le plus de Soudanais possible avec sa coalition pour avancer vers la paix : « Nous n'avons jamais prétendu représenter tous les soudanais, mais nous tendons la main à tous ceux qui travaillent pour mettre fin à la guerre et à rétablir la transformation civile et démocratique. Nous saluons toutes les initiatives pacifiques qui cherchent à arrêter la guerre et nous travaillons ensemble pour mobiliser le plus grand front dans le but de mettre fin à la guerre. Lors de notre dernière réunion à Addis-Abeba, nous avons présenté une vision politique qui inclut un appel à une conférence réunissant toutes les parties soudanaises. Nous œuvrons pour le succès de cette initiative et tendrons la main à toutes les parties. »
Le mouvement Justice et Égalité, était représenté par son secrétaire général, Ahmed Mohamed Tugod Lissan. Il dresse un premier bilan positif de cette réunion. « La réunion a été bonne. Son objectif principal était de rassembler un très grand nombre de partis politiques pour réfléchir aux moyens capables de faire avancer le processus politique au Soudan. En même temps, cette question a été discutée dans le cadre d'un cessez-le-feu, et tout en abordant les questions humanitaires. »
Le secrétaire général du mouvement Justice et Égalité explique que les discussions portaient sur trois axes principaux : « Le premier : réfléchir à la manière d'arrêter les hostilités et aux principes de base qui aideraient les parties en lutte à entrer dans un processus conduisant à un cessez-le-feu et à une cessation des hostilités. Le second consiste à réfléchir à la façon de s'entendre sur un projet politique qui instaure la période post-guerre. Le dernier : réfléchir à la manière de reconstruire le pays après la fin de la guerre. »
« Cette conférence sur l'aide humanitaire arrive au bon moment »
L'ancien Premier ministre Abdallah Hamdok dirige maintenant Taqaddum, la coordination des forces civiles démocratiques. Comme tous les acteurs de la société civile soudanaise, il a insisté sur la nécessité d'une résolution pacifique au conflit. Il remercie la communauté internationale d'avoir organisé la conférence humanitaire à Paris : « Cette conférence intervient au moment où le Soudan a cruellement besoin du soutien international, car nous traversons une situation catastrophique. Elle attire l'attention du monde sur le désastre auquel le Soudan est confronté et qui menace la vie de millions de personnes. Plus de 20 millions de Soudanais risquent de mourir de faim. Cette conférence sur l'aide humanitaire arrive au bon moment. Nous remercions la France, l'Allemagne et l'Union européenne pour l'avoir organisée. »
L'ancien Premier ministre explique vouloir toucher le plus de Soudanais possible avec sa coalition pour avancer vers la paix : « Nous n'avons jamais prétendu représenter tous les soudanais, mais nous tendons la main à tous ceux qui travaillent pour mettre fin à la guerre et à rétablir la transformation civile et démocratique. Nous saluons toutes les initiatives pacifiques qui cherchent à arrêter la guerre et nous travaillons ensemble pour mobiliser le plus grand front dans le but de mettre fin à la guerre. Lors de notre dernière réunion à Addis-Abeba, nous avons présenté une vision politique qui inclut un appel à une conférence réunissant toutes les parties soudanaises. Nous œuvrons pour le succès de cette initiative et tendrons la main à toutes les parties. »
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