Parce que la migration est devenue un sujet « travesti « par les médias Européens qu’il convient d’en parler avec des journalistes des pays de départ. Dans les médias africains en général et Sénégalais en particulier, le traitement réservé à ce fléau frôle parfois le clivage de par les mots employés. La question migratoire de l’avis d’Olivier Piot, journaliste Français et coordonnateur de la plateforme « média et démocratie », basée en France, « les questions migratoires sont traitées par les médias occidentaux avec des stéréotypes. Qui confinent les journalistes occidentaux dans une sorte de regard tel que voulu par leurs gouvernements. Et cela peut déjà fausser les donnes ». D’où l’importance de tenir de pareils ateliers dans les pays qui sont les plus touchés par le phénomène. « Les journalistes africains sont les plus impliqués dans de pareils sujets. En sens qu’ils côtoient ou ont déjà côtoyé des familles de migrants », a-t-il ajouté.
Dans leurs interventions certains journalistes sont revenus sur des expériences vécues, lors de reportages ou d’interview sur le sujet. Ils avouent se confondre souvent dans les terminologies, entre les termes migration clandestine, irrégulière, économique, forcé etc. Et la question était à quel moment tel ou tel autre terme peut-être associé au mot migration. C’est une question qu’avait soulevée la journaliste, Anna Sarr, rédactrice en chef de la radio Trade FM. Là, tous s’accordent sur cette confusion.
Cet atelier de trois jours a pour principaux objectifs d’établir un lexique sur la migration, faire appel aux règles d’éthique et de déontologie du journalisme, lorsqu’il il s’agit de traiter des sujets aussi cloisonnants. De l’avis, toujours d’Olivier Piot, dans sujets aussi sensibles que la migration, il faut s’armer « des sacro-saints du métier ».
Dans leurs interventions certains journalistes sont revenus sur des expériences vécues, lors de reportages ou d’interview sur le sujet. Ils avouent se confondre souvent dans les terminologies, entre les termes migration clandestine, irrégulière, économique, forcé etc. Et la question était à quel moment tel ou tel autre terme peut-être associé au mot migration. C’est une question qu’avait soulevée la journaliste, Anna Sarr, rédactrice en chef de la radio Trade FM. Là, tous s’accordent sur cette confusion.
Cet atelier de trois jours a pour principaux objectifs d’établir un lexique sur la migration, faire appel aux règles d’éthique et de déontologie du journalisme, lorsqu’il il s’agit de traiter des sujets aussi cloisonnants. De l’avis, toujours d’Olivier Piot, dans sujets aussi sensibles que la migration, il faut s’armer « des sacro-saints du métier ».
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