Les édiles du sénégal rappellent qu’une mairie est une institution de la République qu’elle doit être respectée et protégée.
Dans le même dossier, Me El hadji Diouf exige la démission du gouvernement selon l’avocat c’est le Premier ministre lui-même qui s’est le premier substitué au juge pour écarter la thèse de légitime défense, une attitude qui de son avis prouve que son gouvernement est incapable de prendre en charge la sécurité des citoyens.
« Je n’ai pas compris la classe politique aujourd’hui (lundi 26 décembre) qui a constitué à demander la démission de Me Ousmane Ngom. Parce que ce n’est pas le premier à dire qu’il n’y a pas de légitime défense. Le vendredi, le jour du congrès du Pds, le Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye, a dit clairement qu’il n’y a pas de légitime défense parce que selon lui quand Barthélémy tirait Ndiaga lui avait tourné le dos » soutient l’avocat Me El Hadji Diouf.
Selon lui, « le gouvernement de Souleymane Ndéné Ndiaye ne donne pas la sécurité au sénégalais et n’assure pas la sécurité des sénégalais. Son Premier ministre, le chef du gouvernement se permet de dire qu’il n’y a pas de légitime défense alors qu’il n’est pas le juge. Ce gouvernement doit être démis immédiatement parce que c’est un gouvernement qui ne nous rassure pas et ne nous protège pas, c’est un gouvernement du Parti démocratique sénégalais (Pds, Parti au pouvoir) et non un gouvernement de la République du Sénégal. Ce qui est sûr c’est que Me Wade et son gouvernement ne partiront que sous une pression forte pour permettre aux sénégalais de vivre en paix » martèle Me El Hadji Diouf.
D’un autre côté, les avocats de Dias décident de porter plainte contre Me Ousmane Ngom, le ministre de l’intérieur qui a fait des révélations sur le dossier en instruction, un acte punit par la loi, selon l’un des conseillers du maire de Sicap-Mermoz, en l’occurrence Me Aïssata Tall Sall : « Nous avons décidé de porter plainte contre le ministre de l’intérieur Me Ousmane Ngom, qui s’est permis dans le cadre d’un déplacement personnel et politique à Saint-Louis d’aller révéler les éléments de l’enquête et de dire qu’il en tire la conclusion, il n’y a pas de légitime défense ».
Pour elle, Me Ousmane Ngom est soumis aux mêmes obligations judiciaires que les tous autres inspecteurs qui sont sous sa tutelle. « Me Ousmane Ngom est le ministre de l’intérieur, il est le patron des enquêteurs. Il est soumis aux mêmes obligations que les enquêteurs eux-mêmes, la violation des secrets de l’enquête est un délit qui est punit par le code pénal. Et Ousmane Ngom est justiciable comme un autre. Nous avons décidé de le poursuivre pour violation des secrets de l’enquête ».
« Nous nous avions confiance à la justice de notre pays, c’est aux autorités politiques que nous n’avions pas confiance. Nous avions entendu le Premier ministre, nous avions suivi Me Ousmane Ngom, ces deux ne sont plus des avocats, ils sont omis de la liste des avocats. Donc ils ne devraient plus se réclamé d’être des avocats » indique Me Aïssata Tall Sall.
Avant même le procès le ministre de l’intérieur avait déjà jugé l’acte de Barthélémy Dias et accuse le jeune opposant d’avoir délibérément tiré sur les nervis. Un tire qui a causé la mort de Ndiaga Diouf, le 22 décembre dernier lors d’un affrontement opposant des nervis au maire de Sicap-Mermoz en l’occurrence Barthélémy Dias. Pour l’heure, Barthélémy Dias se trouve dans les locaux de la police pour des fins d’enquête, il y a de cela plus de trois jours.
Dans le même dossier, Me El hadji Diouf exige la démission du gouvernement selon l’avocat c’est le Premier ministre lui-même qui s’est le premier substitué au juge pour écarter la thèse de légitime défense, une attitude qui de son avis prouve que son gouvernement est incapable de prendre en charge la sécurité des citoyens.
« Je n’ai pas compris la classe politique aujourd’hui (lundi 26 décembre) qui a constitué à demander la démission de Me Ousmane Ngom. Parce que ce n’est pas le premier à dire qu’il n’y a pas de légitime défense. Le vendredi, le jour du congrès du Pds, le Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye, a dit clairement qu’il n’y a pas de légitime défense parce que selon lui quand Barthélémy tirait Ndiaga lui avait tourné le dos » soutient l’avocat Me El Hadji Diouf.
Selon lui, « le gouvernement de Souleymane Ndéné Ndiaye ne donne pas la sécurité au sénégalais et n’assure pas la sécurité des sénégalais. Son Premier ministre, le chef du gouvernement se permet de dire qu’il n’y a pas de légitime défense alors qu’il n’est pas le juge. Ce gouvernement doit être démis immédiatement parce que c’est un gouvernement qui ne nous rassure pas et ne nous protège pas, c’est un gouvernement du Parti démocratique sénégalais (Pds, Parti au pouvoir) et non un gouvernement de la République du Sénégal. Ce qui est sûr c’est que Me Wade et son gouvernement ne partiront que sous une pression forte pour permettre aux sénégalais de vivre en paix » martèle Me El Hadji Diouf.
D’un autre côté, les avocats de Dias décident de porter plainte contre Me Ousmane Ngom, le ministre de l’intérieur qui a fait des révélations sur le dossier en instruction, un acte punit par la loi, selon l’un des conseillers du maire de Sicap-Mermoz, en l’occurrence Me Aïssata Tall Sall : « Nous avons décidé de porter plainte contre le ministre de l’intérieur Me Ousmane Ngom, qui s’est permis dans le cadre d’un déplacement personnel et politique à Saint-Louis d’aller révéler les éléments de l’enquête et de dire qu’il en tire la conclusion, il n’y a pas de légitime défense ».
Pour elle, Me Ousmane Ngom est soumis aux mêmes obligations judiciaires que les tous autres inspecteurs qui sont sous sa tutelle. « Me Ousmane Ngom est le ministre de l’intérieur, il est le patron des enquêteurs. Il est soumis aux mêmes obligations que les enquêteurs eux-mêmes, la violation des secrets de l’enquête est un délit qui est punit par le code pénal. Et Ousmane Ngom est justiciable comme un autre. Nous avons décidé de le poursuivre pour violation des secrets de l’enquête ».
« Nous nous avions confiance à la justice de notre pays, c’est aux autorités politiques que nous n’avions pas confiance. Nous avions entendu le Premier ministre, nous avions suivi Me Ousmane Ngom, ces deux ne sont plus des avocats, ils sont omis de la liste des avocats. Donc ils ne devraient plus se réclamé d’être des avocats » indique Me Aïssata Tall Sall.
Avant même le procès le ministre de l’intérieur avait déjà jugé l’acte de Barthélémy Dias et accuse le jeune opposant d’avoir délibérément tiré sur les nervis. Un tire qui a causé la mort de Ndiaga Diouf, le 22 décembre dernier lors d’un affrontement opposant des nervis au maire de Sicap-Mermoz en l’occurrence Barthélémy Dias. Pour l’heure, Barthélémy Dias se trouve dans les locaux de la police pour des fins d’enquête, il y a de cela plus de trois jours.
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