Achraf Hakimi, latéral droit du PSG et international marocain, a été mis en examen jeudi pour viol, a indiqué ce vendredi l'AFP. Une femme, âgée de 24 ans, l'accuse de l'avoir violée samedi dernier chez lui à Boulogne-Billancourt, en banlieue ouest de Paris. Contactée, l'avocate du footballeur, Me Fanny Colin, réagit par voie de communiqué transmis à L'Équipe et affirme que « lors de son audition, réalisée à sa demande expresse, Achraf Hakimi a fermement démenti les accusations portées contre lui
« Je rappelle que la mesure de mise en examen qui a suivie cette audition est un passage obligé pour toute personne qui fait l'objet d'une accusation de viol et offre enfin à Monsieur Hakimi la possibilité de se défendre en lui ouvrant un grand nombre de droits, en premier lieu celui de prendre connaissance du dossier », poursuit-elle.
« Après les quelques heures d'audition je retiens pour ma part que la dénonciatrice a refusé de déposer plainte, a refusé de se soumettre au moindre examen médical ou psychologique et a refusé d'être confrontée à Achraf Hakimi alors pourtant que l'accusation ne repose exclusivement que sur ses propos », ajoute encore la robe noire. Avant de conclure : « Il résulte selon moi des pièces qui sont entre les mains de la police judiciaire que Monsieur Hakimi a, dans cette affaire, été l'objet d'une tentative de racket. »
L'avocate de la victime présumée ne souhaite pas médiatiser le dossier
Une accusation à laquelle n'a pas souhaité répondre l'avocate de la jeune femme, Me Rachel-Flore Pardo, précisant que cela ne lui évoquait « rien ». « Ma cliente a fait le choix de se confier à la justice et ne s'exprimera que devant elle », fait-elle savoir, affirmant qu'elle n'entend pas médiatiser ce dossier. La jeune femme aurait affirmé qu'elle ne se sentait pas encore prête pour une confrontation avec le joueur.
Selon Le Parisien, elle s'était rendue le lendemain des faits, dimanche 26 février, dans un commissariat du Val-de-Marne, mais avait précisé ne pas vouloir porter plainte. Elle avait raconté avoir fait connaissance avec Achraf Hakimi en janvier sur le réseau social Instagram et s'être rendue le samedi chez lui dans un VTC commandé par le joueur.
Elle rapporte qu'Achraf Hakimi l'aurait embrassée et commis des attouchements sans son consentement, avant de la violer, selon une source policière interrogée par l'AFP. Elle affirme ensuite être parvenue à se dégager et être partie grâce à une amie venue la récupérer devant le domicile du footballeur.
« Je rappelle que la mesure de mise en examen qui a suivie cette audition est un passage obligé pour toute personne qui fait l'objet d'une accusation de viol et offre enfin à Monsieur Hakimi la possibilité de se défendre en lui ouvrant un grand nombre de droits, en premier lieu celui de prendre connaissance du dossier », poursuit-elle.
« Après les quelques heures d'audition je retiens pour ma part que la dénonciatrice a refusé de déposer plainte, a refusé de se soumettre au moindre examen médical ou psychologique et a refusé d'être confrontée à Achraf Hakimi alors pourtant que l'accusation ne repose exclusivement que sur ses propos », ajoute encore la robe noire. Avant de conclure : « Il résulte selon moi des pièces qui sont entre les mains de la police judiciaire que Monsieur Hakimi a, dans cette affaire, été l'objet d'une tentative de racket. »
L'avocate de la victime présumée ne souhaite pas médiatiser le dossier
Une accusation à laquelle n'a pas souhaité répondre l'avocate de la jeune femme, Me Rachel-Flore Pardo, précisant que cela ne lui évoquait « rien ». « Ma cliente a fait le choix de se confier à la justice et ne s'exprimera que devant elle », fait-elle savoir, affirmant qu'elle n'entend pas médiatiser ce dossier. La jeune femme aurait affirmé qu'elle ne se sentait pas encore prête pour une confrontation avec le joueur.
Selon Le Parisien, elle s'était rendue le lendemain des faits, dimanche 26 février, dans un commissariat du Val-de-Marne, mais avait précisé ne pas vouloir porter plainte. Elle avait raconté avoir fait connaissance avec Achraf Hakimi en janvier sur le réseau social Instagram et s'être rendue le samedi chez lui dans un VTC commandé par le joueur.
Elle rapporte qu'Achraf Hakimi l'aurait embrassée et commis des attouchements sans son consentement, avant de la violer, selon une source policière interrogée par l'AFP. Elle affirme ensuite être parvenue à se dégager et être partie grâce à une amie venue la récupérer devant le domicile du footballeur.
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