Le juge de la Cour d’appel a donc rejeté, dans la matinée, la demande de mise en liberté provisoire de Hama Amadou. C’est la seconde fois que la justice refuse cette demande déposée par les avocats. La première fois, c’était début décembre.
Les militants présents devant le bâtiment à Niamey sont évidemment très déçus. Certains crient à l’injustice, d’autres se disent tout simplement en colère. Mais l’essentiel finalement pour eux, disent-ils, c’est que Hama Amadou est candidat et qu’il sera possible de voter pour lui. Il sera élu, il battra Mahamadou Issoufou, disent les militants présents à la Cour d’appel pour le rendu de ce délibéré.
Pour eux, l’important c’est donc que la candidature de Hama Amadou ait finalement été validée ce samedi par la Cour constitutionnelle. Une décision qui lui permettra de figurer sur les bulletins de vote.
Source : Rfi.fr
-
Hausse des prix du cacao: les coopératives concurrencées par les industriels
-
Madagascar: face à la pénurie d'eau et d'électricité, les ONG peinent à soigner
-
Lac Tchad: des sources locales accusent l'armée tchadienne d'avoir tué par erreur des "dizaines" de pêcheurs au Nigeria
-
Ghana: le parti au pouvoir devrait retrouver sa majorité au Parlement après un différend juridique
-
Mali: le chef du syndicat des gardiens de prison est incarcéré, accusé d’«atteinte à la sûreté de l’État»