Pour répondre à cette question, le Conférencier, par ailleurs Maître assistant à l’université de Dakar, M. Ameth Ndiaye a clamé sans ambages que le droit sur la migration trouve toute sa pertinence. Car, elle est un phénomène qu’on ne peut pas arrêter et qui concerne tous les espaces. C’est la raison pour laquelle, «il faut créer des normes pour protéger les hommes qui la pratiquent», a souligné le diplômé de l’université de Montpellier I.
A l’en croire, la migration est aussi vielle que l’humanité et elle permet aux hommes d’aller et de revenir. Elle concerne plus de deux millions de personnes par an à travers le monde.
Toutefois, le Professeur de droit à l’université Cheikh Anta Diop est convaincu que ce droit est tributaire de la volonté des Etats, qui sont souvent égoïstes. Et pour étayer ses propos, le Professeur Ameth Ndiaye cite l’ancien Général Degaulle qui disait que les Etats n’ont pas d’amis mais des intérêts.
Pour lui, des conventions et des pactes existent dans les différents pays mais il reste un problème d’applicabilité. Car, le droit de la migration rencontre souvent des problèmes à cause de la crise économique. En effet, certains pays employeurs ne peuvent plus faire travailler leurs propres populations à plus forte raison les émigrés. C’est dans cette optique que le Professeur estime qu’il faut les ratifier ; ce qui serait une manière de garantir les droits des migrants. C’est pour cette raison qu’il pense que la place des gouvernements africains est fondamentale. Ils doivent se mettre au travail pour permettre à leurs populations de trouver des emplois. Ce qui permettrait aux populations d’aller voir ailleurs.
Pour le Représentant de l’ambassade de France à cette conférence, la Communauté internationale doit se pencher sur cette question de migration parce qu’elle est cruciale.
Mohammed Leye, président de l’association, estime la migration est un problème qui soulève des réflexions économique, politique et sociale. C’est pourquoi des étudiants se sont inscrits en master de droit de la migration pour avoir les outils nécessaires qui pourront leur permettre de défendre les migrants.
A l’en croire, la migration est aussi vielle que l’humanité et elle permet aux hommes d’aller et de revenir. Elle concerne plus de deux millions de personnes par an à travers le monde.
Toutefois, le Professeur de droit à l’université Cheikh Anta Diop est convaincu que ce droit est tributaire de la volonté des Etats, qui sont souvent égoïstes. Et pour étayer ses propos, le Professeur Ameth Ndiaye cite l’ancien Général Degaulle qui disait que les Etats n’ont pas d’amis mais des intérêts.
Pour lui, des conventions et des pactes existent dans les différents pays mais il reste un problème d’applicabilité. Car, le droit de la migration rencontre souvent des problèmes à cause de la crise économique. En effet, certains pays employeurs ne peuvent plus faire travailler leurs propres populations à plus forte raison les émigrés. C’est dans cette optique que le Professeur estime qu’il faut les ratifier ; ce qui serait une manière de garantir les droits des migrants. C’est pour cette raison qu’il pense que la place des gouvernements africains est fondamentale. Ils doivent se mettre au travail pour permettre à leurs populations de trouver des emplois. Ce qui permettrait aux populations d’aller voir ailleurs.
Pour le Représentant de l’ambassade de France à cette conférence, la Communauté internationale doit se pencher sur cette question de migration parce qu’elle est cruciale.
Mohammed Leye, président de l’association, estime la migration est un problème qui soulève des réflexions économique, politique et sociale. C’est pourquoi des étudiants se sont inscrits en master de droit de la migration pour avoir les outils nécessaires qui pourront leur permettre de défendre les migrants.
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