Après les déclarations fracassantes de la président de l'Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac) sur les 17 rapports transmis par ses services au procureur de la République Serigne Bassirou Gueye, et classés jusqu'à présent sans suite, un autre organe de contrôle de l'Etat vient peut-être mettre davantage le chef du parquet dans l'embarras.
La Cellule nationale de traitement des informations financières a déclaré ce mardi 02 juillet, avoir transmis au parquet 190 rapports d'enquête concernant le blanchiment d'argent sale, le trafic d'êtres humains et le terrorisme. "Au total, 1370 dossiers ont été traités et 190 rapports transmis au procureur de la République entre 2005 et 2018 par la Cellule nationale de traitement des informations financières (CENTIF)", a indiqué ce matin à Saint-Louis, le commissaire Mamadou Thiandoum, Directeur des enquêtes de police de cette institution, rapporté par l'APS.
Toutefois, Thiandoum a plus ou moins déchargé le parquet. Puisqu'il y a eu, selon lui des "jugements et des condamnations, en matière de blanchiment de capitaux", soulignant que la lutte contre ces deux fléaux, vise à faire en sorte que "les criminels ne puissent pas jouir des produits de leurs activités illicites".
La Cellule nationale de traitement des informations financières a déclaré ce mardi 02 juillet, avoir transmis au parquet 190 rapports d'enquête concernant le blanchiment d'argent sale, le trafic d'êtres humains et le terrorisme. "Au total, 1370 dossiers ont été traités et 190 rapports transmis au procureur de la République entre 2005 et 2018 par la Cellule nationale de traitement des informations financières (CENTIF)", a indiqué ce matin à Saint-Louis, le commissaire Mamadou Thiandoum, Directeur des enquêtes de police de cette institution, rapporté par l'APS.
Toutefois, Thiandoum a plus ou moins déchargé le parquet. Puisqu'il y a eu, selon lui des "jugements et des condamnations, en matière de blanchiment de capitaux", soulignant que la lutte contre ces deux fléaux, vise à faire en sorte que "les criminels ne puissent pas jouir des produits de leurs activités illicites".
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