Le Brésil et l’Argentine s’affrontent, dans la nuit de mardi à mercredi, dans le cadre des demi-finales de la Copa America. Une des plus grosses affiches du continent ! Qui accédera à la finale : la Seleçao de Gabriel Jesus ou l’Albiceleste de Lionel Messi ?
« Gagner, c’est bien, mais gagner contre l’Argentine, c’est beaucoup mieux ». Galvao Bueno, le plus célèbre des commentateurs brésiliens, ne s’y trompe pas : la demi-finale de Copa América entre Brésil et Argentine, mercredi (2h30), ne sera pas un match comme les autres.
Affiche grandiose, finale avant la lettre… C’est surtout la plus grande rivalité du football entre deux sélections nationales. Deux pays fous de ballon rond, qui n’ont plus les moyens rivaliser avec les Européens pour retenir leurs meilleurs joueurs dans leurs clubs, mais disposent encore d’un réservoir de talents quasi inépuisable.
« Pour moi, c’est le plus grand des classiques. Ce sont deux géants chargés d’histoire », a affirmé l’attaquant brésilien Gabriel Jesus, parti à vingt ans de Palmeiras pour rejoindre Manchester City. Ce Brésil-Argentine est aussi un duel entre deux équipes qui ont beaucoup à se faire pardonner.
Entre une Seleçao dont les fans sont encore traumatisés par le 7-1 à domicile en demi-finale du Mondial-2014 contre l’Allemagne, et une Albiceleste qui ne remporte pas de titre majeur depuis 1993. Le match de mardi se jouera justement au stade Mineirao de Belo Horizonte, théâtre de l’humiliation suprême face aux Allemands il y a cinq ans.
« C’est difficile de dire qui sera favori entre l’Argentine et le Brésil dans cette Copa América où tout le monde peut battre tout le monde », a souligné le numéro 10 argentin, à l’issue de la victoire en quarts de finale face au Venezuela (2-0). « Nous les respectons, nous savons ce que le Brésil représente. Ils se sont qualifiés dans la douleur, mais ils ont des joueurs qui peuvent faire la différence », a-t-il ajouté.
Avec ouest-france.fr
« Gagner, c’est bien, mais gagner contre l’Argentine, c’est beaucoup mieux ». Galvao Bueno, le plus célèbre des commentateurs brésiliens, ne s’y trompe pas : la demi-finale de Copa América entre Brésil et Argentine, mercredi (2h30), ne sera pas un match comme les autres.
Affiche grandiose, finale avant la lettre… C’est surtout la plus grande rivalité du football entre deux sélections nationales. Deux pays fous de ballon rond, qui n’ont plus les moyens rivaliser avec les Européens pour retenir leurs meilleurs joueurs dans leurs clubs, mais disposent encore d’un réservoir de talents quasi inépuisable.
« Pour moi, c’est le plus grand des classiques. Ce sont deux géants chargés d’histoire », a affirmé l’attaquant brésilien Gabriel Jesus, parti à vingt ans de Palmeiras pour rejoindre Manchester City. Ce Brésil-Argentine est aussi un duel entre deux équipes qui ont beaucoup à se faire pardonner.
Entre une Seleçao dont les fans sont encore traumatisés par le 7-1 à domicile en demi-finale du Mondial-2014 contre l’Allemagne, et une Albiceleste qui ne remporte pas de titre majeur depuis 1993. Le match de mardi se jouera justement au stade Mineirao de Belo Horizonte, théâtre de l’humiliation suprême face aux Allemands il y a cinq ans.
« Pas de favori » pour Messi
Pays-hôte du tournoi, le Brésil reste favori, malgré l’absence de sa plus grande star, Neymar, forfait sur blessure et récemment entendu par la police brésilienne pour répondre d’accusations de viol. Lionel Messi, lui, est bien là, mais loin de son meilleur niveau.« C’est difficile de dire qui sera favori entre l’Argentine et le Brésil dans cette Copa América où tout le monde peut battre tout le monde », a souligné le numéro 10 argentin, à l’issue de la victoire en quarts de finale face au Venezuela (2-0). « Nous les respectons, nous savons ce que le Brésil représente. Ils se sont qualifiés dans la douleur, mais ils ont des joueurs qui peuvent faire la différence », a-t-il ajouté.
Avec ouest-france.fr
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