Ca y est Rolland Courbis tient son premier succès avec Montpellier depuis son retour sur le banc, le 13 décembre face à Saint-Etienne (0-1). Un succès obtenu à Sochaux (0-2) qui permet aux Héraultais de mettre 10 points d’écart entre les deux formations et de condamner presque à coup sûr les Sochaliens à la Ligue 2. La soirée des Languedociens a été d’autant plus belle qu’Ajaccio a perdu à Nice (2-0) et que Valenciennes n’a pas joué à Marseille. Du coup, le MHSC a pris ses distances avec la zone de relégation. Ce qui n’est pas pour déplaire à son entraîneur Rolland Courbis.
Rolland, est-ce un coup parfait pour Montpellier?
Oui. Ce ne sont pas des matchs faciles à préparer pour Hervé [Renard, entraîneur de Sochaux] ou moi. Ni faciles à gagner. C’est sûr, on est très contents mais on sait le chemin qui nous reste encore à faire. J’avais dit qu’il fallait dédramatiser la situation. On a pris quatre points lors des deux premiers matchs en 2014. Hum. Là, je n’ai plus de voix à trop encourager mon équipe. Même à dix contre onze, on n’arrive pas à se libérer totalement. Ça démontre un peu l’angoisse avec laquelle nous jouons nos matchs.
Vous avez été supérieurs à Sochaux dans les grandes largeurs…
Ça s’est encore plus compliqué pour eux quand ils se sont retrouvés à dix. Mais ce n’est pas de notre faute si un de leurs joueurs part en nervosité et a fait un geste répréhensible. Ça pourrait nous arriver à nous, tant mieux que ce soit à eux. Mais avant même ce fait de jeu, dans l’ensemble, la victoire est méritée.
Vous avez débuté avec plein d’aplomb. Comment avez-vous travaillé psychologiquement sur ce match?
Ça ne remonte pas uniquement à ce match. On confirme un match correct contre Monaco [1-1]. Avant celui-ci, on s’était mis d’accord sur quelque soit l’adversaire, on est obligé d’assumer le calendrier. Car si on est angoissés contre les bien classés et angoissés contre les mal-classés, on ne peut pas faire la deuxième partie de cette saison en étant très angoissé. On peut l’être un peu vu notre classement. J’espère que la dégringolade de Montpellier est terminée, ça on le verra dans les prochains matchs. Mais il ne faut pas croire que toutes les équipes sont à l’abri et que la descente ne va pas se jouer qu’entre les trois derniers plus nous. Je pense qu’il y a six ou sept collègues qui vont s’angoisser dans très peu de temps car je note aucun club n’est sauvé jusqu’à la 11e place.
Rolland, est-ce un coup parfait pour Montpellier?
Oui. Ce ne sont pas des matchs faciles à préparer pour Hervé [Renard, entraîneur de Sochaux] ou moi. Ni faciles à gagner. C’est sûr, on est très contents mais on sait le chemin qui nous reste encore à faire. J’avais dit qu’il fallait dédramatiser la situation. On a pris quatre points lors des deux premiers matchs en 2014. Hum. Là, je n’ai plus de voix à trop encourager mon équipe. Même à dix contre onze, on n’arrive pas à se libérer totalement. Ça démontre un peu l’angoisse avec laquelle nous jouons nos matchs.
Vous avez été supérieurs à Sochaux dans les grandes largeurs…
Ça s’est encore plus compliqué pour eux quand ils se sont retrouvés à dix. Mais ce n’est pas de notre faute si un de leurs joueurs part en nervosité et a fait un geste répréhensible. Ça pourrait nous arriver à nous, tant mieux que ce soit à eux. Mais avant même ce fait de jeu, dans l’ensemble, la victoire est méritée.
Vous avez débuté avec plein d’aplomb. Comment avez-vous travaillé psychologiquement sur ce match?
Ça ne remonte pas uniquement à ce match. On confirme un match correct contre Monaco [1-1]. Avant celui-ci, on s’était mis d’accord sur quelque soit l’adversaire, on est obligé d’assumer le calendrier. Car si on est angoissés contre les bien classés et angoissés contre les mal-classés, on ne peut pas faire la deuxième partie de cette saison en étant très angoissé. On peut l’être un peu vu notre classement. J’espère que la dégringolade de Montpellier est terminée, ça on le verra dans les prochains matchs. Mais il ne faut pas croire que toutes les équipes sont à l’abri et que la descente ne va pas se jouer qu’entre les trois derniers plus nous. Je pense qu’il y a six ou sept collègues qui vont s’angoisser dans très peu de temps car je note aucun club n’est sauvé jusqu’à la 11e place.
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