Le porte-parole adjoint de l’Alliance pour la République (Apr) a déclaré dans l’émission Jury du dimanche (JDD) su I-radio, ce 29 septembre, dont il était l’invité, que le régime en place ‘’foule aux pieds les lois et règlements de ce pays’’. Selon Abdou Mbow, puisque c'est de lui qu'il s'agit, "le Président a violé totalement la loi, outrepassé ses prérogatives".
« Quand on dit l’avis est sorti et que ça concernait l'Assemblée nationale, obligatoirement, on devait le notifier au Président de l'Assemblée nationale. Ça n’a pas été fait. Cela dit qu’ils foulent aux pieds les lois et règlements de ce pays. Ça, c’est un. Deuxièmement, le président de la République a le droit constitutionnel de dissoudre l’Assemblée nationale, mais aujourd’hui, avant de violer la loi électorale, on devrait s’entendre autour de l’essentiel sur les délais par rapport aux dépôts, quand est-ce que l’élection doit être organisée. Est-ce qu’il y aura des parrainages pour qu’on puisse échanger sur la question. Parce que c’est une loi. Et ils ont pris des actes réglementaires pour ne pas appliquer une loi, c'est-à-dire la loi organique. Le Président a violé totalement, outre passez ses prérogatives et on est allé attaquer ce décret au niveau de la CEDEAO pour excès de pouvoir. Nous sommes des acteurs politiques. Mais aussi, nous sommes des Sénégalais, nous connaissons les lois et règlements de ce pays », a déclaré Abdou Mbow.
Pour le député de la 14e législature, le Conseil constitutionnel, est une institution qui doit respecter les lois et règlements de ce pays. « Parce que quand on parle de considère, mais on fait appel à des lois, à des règlements à des techniques qui ont été prises. Mais aussi, il y a la jurisprudence », a-t-il rappelé.
L’invité du Jury Du Dimanche (JDD) a précisé qu'aujourd'hui, « tout ce qui a été fait par rapport au processus, c'est-à-dire la date des élections, le fait d’éliminer le parrainage, les actes réglementaires pour les dépôts, pour la campagne électorale, tout ça, ce sont des actes réglementaires qui remplacent la loi organique et ça ce n’est pas normal. Ils ont violé totalement la Constitution Sénégalaise. Et ça, c’est dangereux parce que le président de la République, il a prêté serment pour d'abord dire qu'il va respecter la construction et faire respecter », tonne l’apériste.
Mieux, a poursuivi M. Mbow, «(….). Quand on veut se faire respecter, quand on est dans un état de droit, un président de la République, sa signature je ne dis même pas sa parole est sacrée. Ne pas respecter la signature d’un Président de la République, c’est un parjure ».
« Quand on dit l’avis est sorti et que ça concernait l'Assemblée nationale, obligatoirement, on devait le notifier au Président de l'Assemblée nationale. Ça n’a pas été fait. Cela dit qu’ils foulent aux pieds les lois et règlements de ce pays. Ça, c’est un. Deuxièmement, le président de la République a le droit constitutionnel de dissoudre l’Assemblée nationale, mais aujourd’hui, avant de violer la loi électorale, on devrait s’entendre autour de l’essentiel sur les délais par rapport aux dépôts, quand est-ce que l’élection doit être organisée. Est-ce qu’il y aura des parrainages pour qu’on puisse échanger sur la question. Parce que c’est une loi. Et ils ont pris des actes réglementaires pour ne pas appliquer une loi, c'est-à-dire la loi organique. Le Président a violé totalement, outre passez ses prérogatives et on est allé attaquer ce décret au niveau de la CEDEAO pour excès de pouvoir. Nous sommes des acteurs politiques. Mais aussi, nous sommes des Sénégalais, nous connaissons les lois et règlements de ce pays », a déclaré Abdou Mbow.
Pour le député de la 14e législature, le Conseil constitutionnel, est une institution qui doit respecter les lois et règlements de ce pays. « Parce que quand on parle de considère, mais on fait appel à des lois, à des règlements à des techniques qui ont été prises. Mais aussi, il y a la jurisprudence », a-t-il rappelé.
L’invité du Jury Du Dimanche (JDD) a précisé qu'aujourd'hui, « tout ce qui a été fait par rapport au processus, c'est-à-dire la date des élections, le fait d’éliminer le parrainage, les actes réglementaires pour les dépôts, pour la campagne électorale, tout ça, ce sont des actes réglementaires qui remplacent la loi organique et ça ce n’est pas normal. Ils ont violé totalement la Constitution Sénégalaise. Et ça, c’est dangereux parce que le président de la République, il a prêté serment pour d'abord dire qu'il va respecter la construction et faire respecter », tonne l’apériste.
Mieux, a poursuivi M. Mbow, «(….). Quand on veut se faire respecter, quand on est dans un état de droit, un président de la République, sa signature je ne dis même pas sa parole est sacrée. Ne pas respecter la signature d’un Président de la République, c’est un parjure ».
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