Le Syndicat des professionnels de l’information et de la communication du Sénégal (SYNPICS) a tenu, ce jeudi les Assises des médias. Le SYNPICS a organisé un atelier pour consolider les termes de références, les thèmes et l’agenda, et partir de cet agenda déterminer les grandes lignes.
Bamba kassé, secrétaire général du SYNPICS prône
la fin des maux qui gangrènent la profession.
« Il faut d’abord préciser qu’aujourd’hui, il s’agit d’un atelier pour permettre de consolider les termes de référence, de discuter des thèmes, ensemble de réfléchir sur un agenda et en suite de dérouler les assises. Pourquoi ces assises, je dirais pourquoi pas des assises», a souligné Bamba Kassé.
De façon générale dans le monde, dit-il, il est d’usage de marquer des pauses et de réfléchir. Combien de fois nous autre journaliste son pointé du doigt, par le public pour nous critiquer sur la pratique de notre métier. « Combien de fois vous voyez des acteurs de la société civile se lever et fustiger certains contenus qui peut être ne sont pas des contenus purement journalistique, et qui sont accessibles au public. À mon avis, cela justifie la tenue de ces assises, de s'asseoir, et de réfléchir ensemble », a indiqué le Secrétaire Général du Synpics.
Bamba Kassé préconise le dialogue entre patronat et les acteurs des médias. « Combien de fois, combien parmi nous qui sont des employés, sont écrasés par le patronat. Il faut que chacun d’entre nous, les journalistes, les techniciens, les administrateurs, les producteurs, les patrons de presse, les techniciens les cameramans, les spécialistes de limage, les agences de communication, les publicistes, il faut qu’on ait l’humilité de reconnaitre que nous sommes tous, chacun en ce qui le concerne une partie du problème », a-t-il souligné.
« Qu’on ait l’humilité d’écouter les autres. Et enfin sous la supervision des spécialistes du monde universitaire et qui sont spécialisés des questions de droit, de sociologie des médias, et qu’on puisse dérouler ensemble une sorte de feuille de route qui sera résumée dans un rapport final », a préconisé le journaliste.
Nous en tant que spécialiste venu de l’université, poursuit-il, notre rôle, c’est de venir avec notre expertise : « c’est le droit, c’est la sociologie, c’est l’économie, c’est l’anthropologie, c’est l’histoire. Toutes ces disciplines permettent d’accompagner les assises pour donner un contenu, un regard scientifique en s’appuyant sur le vécu des acteurs pour produire un document exploitable au plus grand profit des acteurs de la société », a dit le spécialiste des médias sociaux.
Bamba kassé, secrétaire général du SYNPICS prône
la fin des maux qui gangrènent la profession.
« Il faut d’abord préciser qu’aujourd’hui, il s’agit d’un atelier pour permettre de consolider les termes de référence, de discuter des thèmes, ensemble de réfléchir sur un agenda et en suite de dérouler les assises. Pourquoi ces assises, je dirais pourquoi pas des assises», a souligné Bamba Kassé.
De façon générale dans le monde, dit-il, il est d’usage de marquer des pauses et de réfléchir. Combien de fois nous autre journaliste son pointé du doigt, par le public pour nous critiquer sur la pratique de notre métier. « Combien de fois vous voyez des acteurs de la société civile se lever et fustiger certains contenus qui peut être ne sont pas des contenus purement journalistique, et qui sont accessibles au public. À mon avis, cela justifie la tenue de ces assises, de s'asseoir, et de réfléchir ensemble », a indiqué le Secrétaire Général du Synpics.
Bamba Kassé préconise le dialogue entre patronat et les acteurs des médias. « Combien de fois, combien parmi nous qui sont des employés, sont écrasés par le patronat. Il faut que chacun d’entre nous, les journalistes, les techniciens, les administrateurs, les producteurs, les patrons de presse, les techniciens les cameramans, les spécialistes de limage, les agences de communication, les publicistes, il faut qu’on ait l’humilité de reconnaitre que nous sommes tous, chacun en ce qui le concerne une partie du problème », a-t-il souligné.
« Qu’on ait l’humilité d’écouter les autres. Et enfin sous la supervision des spécialistes du monde universitaire et qui sont spécialisés des questions de droit, de sociologie des médias, et qu’on puisse dérouler ensemble une sorte de feuille de route qui sera résumée dans un rapport final », a préconisé le journaliste.
"Faire un point sur les difficultés que rencontrent les acteurs de la profession, mais aussi d’en tirer une série de recommandations"Professeur Mor Faye, spécialiste de médias sociaux à lui soutenu, qu’il s’agira de faire un point sur les difficultés que rencontre les acteurs de la profession, mais aussi d’en tirer une série de recommandations à des fin de remédiassions. « On attendre beaucoup de ces assises en termes de proposition concrète. Parce qu’il s’agira de faire un point sur les difficultés que rencontrent les acteurs de la profession, mais aussi d’en tirer une série de recommandations», a-t-il indiqué.
Nous en tant que spécialiste venu de l’université, poursuit-il, notre rôle, c’est de venir avec notre expertise : « c’est le droit, c’est la sociologie, c’est l’économie, c’est l’anthropologie, c’est l’histoire. Toutes ces disciplines permettent d’accompagner les assises pour donner un contenu, un regard scientifique en s’appuyant sur le vécu des acteurs pour produire un document exploitable au plus grand profit des acteurs de la société », a dit le spécialiste des médias sociaux.
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