Des coopératives d’habitat se disent victimes de spoliation foncière à Niague situé à 40 km au nord-est de Dakar, à proximité du Lac Rose par la SOCABEG. C’est sur un site de 2,5 hectares. Les membres de ses coopératives interpellent les autorités.
« La SOCABEG a voulu nous forcer la main pour récupérer les terres sur la base d’un faux bail. Au mois de juillet dernier, le procureur a envoyé un soit transmis à la DESCOS nationale, qui a transmis le dossier à la DESCOS de Rufisque. Mais malheureusement depuis le mois de juillet le dossier traine. Je ne sais pas pourquoi. La DESCOS nous a entendu, a entendu le vieux Pa Ndour qui nous a vendu le terrain, a entendu la SOCABEG. Mais il restait à retransmettre le dossier au niveau du Procureur. Depuis lors, le dossier stagne », a soutenu El Hadji Ibrahima Thiam du Soleil.
Le propriétaire du site affirme n’avoir jamais cédé le terrain à la SOCABEG. « C’était un domaine national. C’est le président Abdoulaye Wade qui l'a transformé en titre foncier d’Etat. Par la suite, la SOCABEG a voulu m’acheter le site, car j’avais une délibération de l’ancienne communauté rurale de Sangalkam. Un an après, il n’y a pas de réaction de leur part. C’est en suite que j’ai vendue le terrain à un certain Narcisse qui a fait le lotissement. C’est par la suite que la SOCABEG est venue réclamer le cite », explique Ousmane Ndour.
Les coopératives mettent en garde la SOCABEG et alertent les autorités. « Il faut que justice soit faite. La SOCABEG ne peut pas se permettre en tant que société immobilière de prendre des terres d’honnêtes citoyens qui au prix de multiple sacrifice ont décidé un projet de vie. Une société qui est connue pour faire de spoliation foncière avec le soutien de gens véreux. Il faut le dire. Donc il faut que ça s’arrête », livre iRadio.
« La SOCABEG a voulu nous forcer la main pour récupérer les terres sur la base d’un faux bail. Au mois de juillet dernier, le procureur a envoyé un soit transmis à la DESCOS nationale, qui a transmis le dossier à la DESCOS de Rufisque. Mais malheureusement depuis le mois de juillet le dossier traine. Je ne sais pas pourquoi. La DESCOS nous a entendu, a entendu le vieux Pa Ndour qui nous a vendu le terrain, a entendu la SOCABEG. Mais il restait à retransmettre le dossier au niveau du Procureur. Depuis lors, le dossier stagne », a soutenu El Hadji Ibrahima Thiam du Soleil.
Le propriétaire du site affirme n’avoir jamais cédé le terrain à la SOCABEG. « C’était un domaine national. C’est le président Abdoulaye Wade qui l'a transformé en titre foncier d’Etat. Par la suite, la SOCABEG a voulu m’acheter le site, car j’avais une délibération de l’ancienne communauté rurale de Sangalkam. Un an après, il n’y a pas de réaction de leur part. C’est en suite que j’ai vendue le terrain à un certain Narcisse qui a fait le lotissement. C’est par la suite que la SOCABEG est venue réclamer le cite », explique Ousmane Ndour.
Les coopératives mettent en garde la SOCABEG et alertent les autorités. « Il faut que justice soit faite. La SOCABEG ne peut pas se permettre en tant que société immobilière de prendre des terres d’honnêtes citoyens qui au prix de multiple sacrifice ont décidé un projet de vie. Une société qui est connue pour faire de spoliation foncière avec le soutien de gens véreux. Il faut le dire. Donc il faut que ça s’arrête », livre iRadio.
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