Dans l'est de la RDC, le calme était de retour à Goma samedi 12 avril, après une nuit agitée. Des affrontements armés ont eu lieu, le 11 avril, dans l'ouest de la ville à la tombée de la nuit. Le gouverneur du Nord-Kivu, installé par l'AFC/M23, affirme avoir repoussé une « attaque » attribuées aux FARDC, et à leurs alliés Wazalendo. Ce 12 avril au soir, le groupe CMC-FDP revendique. L'armée congolaise en revanche ne réagit par pour le moment.
Alors qu'on ne connait pas le bilan de ces accrochages à Goma, les habitants de la ville vivent dans l'incertitude, comme le témoignage l'un d'entre eux.
Jusqu'à deux heures du matin, nous étions sous le feu. Nous sommes restés chez nous pour ne pas être confondus avec des combattants wazalendo.
Une tentative de « harcèlement » ou un message destiné à Kinshasa ?
Que s'est-il passé à Goma dans la nuit du vendredi 11 au samedi 12 avril ? Des tirs nourris d'armes lourdes et légères ont retenti dans les quartiers ouest de la ville. Les autorités installées par le M23 ont affirmé avoir repoussé une attaque.
Si l'armée congolaise ne s'est pas exprimée, le groupe CMC-FDP, une branche des Wazalendo revendique dans un communiqué, une série d'attaques ces derniers jours, dont celle-ci.
Onesphore Sematumba, analyste Grands lacs à l'International Crisis Group, y voit une tentative de « harcèlement », doublée d'une opération de communication à destination du M23 et du pouvoir de Kinshasa.
Alors qu'on ne connait pas le bilan de ces accrochages à Goma, les habitants de la ville vivent dans l'incertitude, comme le témoignage l'un d'entre eux.
Jusqu'à deux heures du matin, nous étions sous le feu. Nous sommes restés chez nous pour ne pas être confondus avec des combattants wazalendo.
Une tentative de « harcèlement » ou un message destiné à Kinshasa ?
Que s'est-il passé à Goma dans la nuit du vendredi 11 au samedi 12 avril ? Des tirs nourris d'armes lourdes et légères ont retenti dans les quartiers ouest de la ville. Les autorités installées par le M23 ont affirmé avoir repoussé une attaque.
Si l'armée congolaise ne s'est pas exprimée, le groupe CMC-FDP, une branche des Wazalendo revendique dans un communiqué, une série d'attaques ces derniers jours, dont celle-ci.
Onesphore Sematumba, analyste Grands lacs à l'International Crisis Group, y voit une tentative de « harcèlement », doublée d'une opération de communication à destination du M23 et du pouvoir de Kinshasa.
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