« La société Westwood, proche du pouvoir gambien, exporte vers la Chine des centaines de milliers de troncs de bois de vènes coupés en Casamance. La coupe de ce bois est pourtant interdite au Sénégal, mais les autorités ferment les yeux. Si rien n’est fait dans les deux ans, c’est le désert qui va s’installer ». Ces propos sont de l’ancien ministre de l’Environnement, Haïdar El Ali qui tire le signal d’alarme.
L’écologiste avait rendu publique, jeudi 26 mai à Dakar, des images montrant l’un des centres névralgiques du trafic de bois de vènes entre la Casamance et la Gambie. Il s’agit d’un bois précieux utilisé en Chine pour la fabrication de meubles de luxe destinés aux nouvelles élites.
«La coupe de ce bois est pourtant interdite au Sénégal, mais les autorités ferment les yeux. Si rien n’est fait dans les deux ans, c’est le désert qui va s’installer », alerte l’écologiste.
L’écologiste avait rendu publique, jeudi 26 mai à Dakar, des images montrant l’un des centres névralgiques du trafic de bois de vènes entre la Casamance et la Gambie. Il s’agit d’un bois précieux utilisé en Chine pour la fabrication de meubles de luxe destinés aux nouvelles élites.
«La coupe de ce bois est pourtant interdite au Sénégal, mais les autorités ferment les yeux. Si rien n’est fait dans les deux ans, c’est le désert qui va s’installer », alerte l’écologiste.
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