Tout le monde a parlé sauf les journalistes qui ont été conviés le jour même de l'ouverture du dialogue national à 11 heures par un coup de fil. Un manque de considération déploré par le secrétaire général du SYNPICS (Syndicat des Professionnels de l'Information et de la Communication du Sénégal). Ibrahima Khaliloullah Ndiaye rappelle aux autorités que c'est la presse le vecteur du dialogue puisque ce sont les journalistes qui relaient l’information.
«Nous avons été conviés à ce dialogue le jour même à 11 heures, à quelques heures seulement du démarrage du dialogue national. Et je me suis démené pour revenir à Dakar, étant entendu que j’étais en Mbour pour un séminaire. Nous sommes venus à l'heure indiqué et nous y étions jusqu'à 01 heure du matin, à la fin de la séance. Nous avons été très surpris de voir que la parole était donnée à qui on voudrait et on a ignoré un démembrement important, le vecteur même qui va être celui du dialogue national à savoir les médias, la presse dans son ensemble», rage le journaliste.
Ibrahima Khaliloullah Ndiaye de marteler sur la Rfm: «Nous n’avons eu de cesse ces dernier temps de dénoncer le fait que la presse Sénégalaise fait partie des maux de ce pays. Nous avons beaucoup de problèmes. Je pense que la meilleure des choses était également de profiter de ce moment de solennité de donner la parole à la presse qui est incontournable. Je répète que c’est le vecteur par lequel doit se faire le dialogue. Si les journalistes n’étaient pas là, les gens ne seraient pas informés. Si on veut que le dialogue soit inclusif, on doit quand même traiter tout le monde d’une digne égalité. On a donné la parole à des gens qui ne sont pas plus représentatifs que nous autres».
«Nous avons été conviés à ce dialogue le jour même à 11 heures, à quelques heures seulement du démarrage du dialogue national. Et je me suis démené pour revenir à Dakar, étant entendu que j’étais en Mbour pour un séminaire. Nous sommes venus à l'heure indiqué et nous y étions jusqu'à 01 heure du matin, à la fin de la séance. Nous avons été très surpris de voir que la parole était donnée à qui on voudrait et on a ignoré un démembrement important, le vecteur même qui va être celui du dialogue national à savoir les médias, la presse dans son ensemble», rage le journaliste.
Ibrahima Khaliloullah Ndiaye de marteler sur la Rfm: «Nous n’avons eu de cesse ces dernier temps de dénoncer le fait que la presse Sénégalaise fait partie des maux de ce pays. Nous avons beaucoup de problèmes. Je pense que la meilleure des choses était également de profiter de ce moment de solennité de donner la parole à la presse qui est incontournable. Je répète que c’est le vecteur par lequel doit se faire le dialogue. Si les journalistes n’étaient pas là, les gens ne seraient pas informés. Si on veut que le dialogue soit inclusif, on doit quand même traiter tout le monde d’une digne égalité. On a donné la parole à des gens qui ne sont pas plus représentatifs que nous autres».
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