Soucieux de développer la réflexion sur la pratique des acteurs des médias sous l’angle de la protection des droit de l’enfant, l’Institut Supérieur d’entrepreneurship et de Gestion (ISEG) en synergie avec la Cellule d’Appuis et de Protection de l’Enfance (CAPE), a organisé un Panel sur le thème : « Protection des Droits de l’Enfant dans les Médias ». Selon Ibrahima Ndiaye, juriste formateur, ce Panel est organisé en marge de la 10e session régionale de formation délocalisée en Droit International des droits de l’Homme.
« La Convention internationale des droits de l’enfant est ratifiée au Sénégal depuis 1990. Il y a eu beaucoup d’efforts depuis cette date. Nous sommes dans le domaine du journalisme, et nous avons constaté que beaucoup de journalistes ont des difficultés à appréhender ce qui est dit dans cette convention. C’est la raison pour laquelle nous nous sommes dit, qu’il était bon de capitaliser au moins beaucoup de choses. Faire en sorte que les journalistes qui sont actuellement en formation puissent bénéficier de tous les modules parlant de la protection des droits de l’enfant », a déclaré Ibrahima Ndiaye.
Le juriste de poursuivre: « depuis l’année dernière, 2018, j’avais pris l’engagement à la Cellule d’accueil à la Protection de l’enfance (CAPE), devant différentes institutions qui sont installées au Sénégal qui relève soit de l’Union européenne, ou au système des Nations Unies que j’allais faire en sorte que cette vulgarisation soit quelque chose de concret. Mais en passant par la formation des journalistes ».
Poursuivant ses propos, M Ndiaye de préciser : « C’est à ce niveau-là, que nous avions décidé d’introduire dans le module de droit de la presse et de communication, une partie qui sera réservée au Droit de l’enfant. Dès l’instant que le journaliste est formé, aux différents droits qui touchent son secteur. C'est-à-dire son domaine d’activité, le journalisme et la communication, et plus particulièrement les droits de l’enfant, on est à peu près sûr que ce journaliste-là, n’aura pas maille à partir avec la justice ».
« La Convention internationale des droits de l’enfant est ratifiée au Sénégal depuis 1990. Il y a eu beaucoup d’efforts depuis cette date. Nous sommes dans le domaine du journalisme, et nous avons constaté que beaucoup de journalistes ont des difficultés à appréhender ce qui est dit dans cette convention. C’est la raison pour laquelle nous nous sommes dit, qu’il était bon de capitaliser au moins beaucoup de choses. Faire en sorte que les journalistes qui sont actuellement en formation puissent bénéficier de tous les modules parlant de la protection des droits de l’enfant », a déclaré Ibrahima Ndiaye.
Le juriste de poursuivre: « depuis l’année dernière, 2018, j’avais pris l’engagement à la Cellule d’accueil à la Protection de l’enfance (CAPE), devant différentes institutions qui sont installées au Sénégal qui relève soit de l’Union européenne, ou au système des Nations Unies que j’allais faire en sorte que cette vulgarisation soit quelque chose de concret. Mais en passant par la formation des journalistes ».
Poursuivant ses propos, M Ndiaye de préciser : « C’est à ce niveau-là, que nous avions décidé d’introduire dans le module de droit de la presse et de communication, une partie qui sera réservée au Droit de l’enfant. Dès l’instant que le journaliste est formé, aux différents droits qui touchent son secteur. C'est-à-dire son domaine d’activité, le journalisme et la communication, et plus particulièrement les droits de l’enfant, on est à peu près sûr que ce journaliste-là, n’aura pas maille à partir avec la justice ».
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