La Conférence ‘’Bâtir la Solidarité’’ a démarré ce jeudi pour mettre en place un véritable réseau solidaire entre les organisations de la société civile. Cette conférence, organisée par Yiaga Africa en partenariat avec AfricTivistes, porte sur le Thème : « Redéfinir la pratique de la solidarité dans l'activisme civique ».
« Dans le contexte actuel ou nous, vivons une véritable régression démocratique dans nos pays, il est important qu’on puisse mettre en place un véritable réseau solidaire entre organisations de la société civile. Cette solidarité va nous permettre d’avoir plus de résilience dans la lutte. Elle va nous permettre de faire face davantage à toutes les difficultés auxquelles nous faisons face dans nos différents pays avec la restriction de l’espace civique, les arrestations de militants, qui sont parfois exécutés, les disparitions forcées », dénonce David Desseh militant pro-démocratie du Togo.
Poursuivant ses propos, le premier porte-parole d’une organisation de la société civile dénommée front citoyen ‘’Togo debout’’, note que les pressions sont très fortes et pour pouvoir y faire face maintenant et à l’avenir, il faut être en mesure de construire le réseau de solidarité.
En ce qui concerne les pays, M. Desseh reconnait que les contextes peuvent être différents. « La question de la limitation des mandats a été soulevée. Parce que c’est une question qui concerne le Togo, la Côte d’Ivoire avec le Président Ouatara qui va peut-être vouloir faire un quatrième mandat. Tous ces pays, vous avez des modifications de Constitution pour pouvoir s’éterniser au pouvoir. Faire en sorte par une stratégie complémentaire et solidaire des différentes organisations puissent intervenir sur des objectifs précis et permettre de faire avancer la cause de la démocratie en Afrique et en Afrique de l’Ouest plus particulièrement », dit-il.
Interpelé sur la question des putschs en Afrique, le coordonnateur de ‘’Tournons la page Togo’’, précise : « Vous savez il y a des putshs constitutionnels, c’est le cas du Togo actuellement. Nous sommes en train de réfléchir dessus. Mais il y a également des putschs militaires ou cette organisation que nous sommes en train de prôner entre organisations de la société civile, elle est en train de se mettre en place. Notamment entre les pays de l’AES. Donc cela appelle certainement à des réflexions très approfondies pour voir comment est ce que nous pouvons être solidaires vis-à-vis des organisations de la société civile qui sont dans un contexte militaire assez difficile. Donc ce sont des éléments assez délicats qui vont pouvoir nous permettre de réfléchir durant ces 2 jours et de voir quelle réponse adaptée apportée à ces deux situations ».
« Dans le contexte actuel ou nous, vivons une véritable régression démocratique dans nos pays, il est important qu’on puisse mettre en place un véritable réseau solidaire entre organisations de la société civile. Cette solidarité va nous permettre d’avoir plus de résilience dans la lutte. Elle va nous permettre de faire face davantage à toutes les difficultés auxquelles nous faisons face dans nos différents pays avec la restriction de l’espace civique, les arrestations de militants, qui sont parfois exécutés, les disparitions forcées », dénonce David Desseh militant pro-démocratie du Togo.
Poursuivant ses propos, le premier porte-parole d’une organisation de la société civile dénommée front citoyen ‘’Togo debout’’, note que les pressions sont très fortes et pour pouvoir y faire face maintenant et à l’avenir, il faut être en mesure de construire le réseau de solidarité.
En ce qui concerne les pays, M. Desseh reconnait que les contextes peuvent être différents. « La question de la limitation des mandats a été soulevée. Parce que c’est une question qui concerne le Togo, la Côte d’Ivoire avec le Président Ouatara qui va peut-être vouloir faire un quatrième mandat. Tous ces pays, vous avez des modifications de Constitution pour pouvoir s’éterniser au pouvoir. Faire en sorte par une stratégie complémentaire et solidaire des différentes organisations puissent intervenir sur des objectifs précis et permettre de faire avancer la cause de la démocratie en Afrique et en Afrique de l’Ouest plus particulièrement », dit-il.
Interpelé sur la question des putschs en Afrique, le coordonnateur de ‘’Tournons la page Togo’’, précise : « Vous savez il y a des putshs constitutionnels, c’est le cas du Togo actuellement. Nous sommes en train de réfléchir dessus. Mais il y a également des putschs militaires ou cette organisation que nous sommes en train de prôner entre organisations de la société civile, elle est en train de se mettre en place. Notamment entre les pays de l’AES. Donc cela appelle certainement à des réflexions très approfondies pour voir comment est ce que nous pouvons être solidaires vis-à-vis des organisations de la société civile qui sont dans un contexte militaire assez difficile. Donc ce sont des éléments assez délicats qui vont pouvoir nous permettre de réfléchir durant ces 2 jours et de voir quelle réponse adaptée apportée à ces deux situations ».
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