Le Collectif des habitants de la cité Famara Ibrahima Sagna à Thiaroye sur mer, qui lutte depuis près de trois décennies pour la délocalisation de l’usine ICS/Senchim devenue Indorama / ICS, ne baisse pas les bras. Lors d’une conférence de presse tenue ce dimanche, les responsables du collectif ont fait montre de leur détermination de continuer la lutte pour que cette usine soit définitivement délocalisée de leur quartier.
« Malgré la décision de justice, Indorama/ ICS produit et met en vente des pesticides à l'origine de nuisances olfactives, avec un stock de plus de 500 tonnes de pesticides obsolètes au niveau du site industriel. Elle n'est pas en règle au vu de la législation environnementale... La situation durable au problème reste la délocalisation de l'usine, dans les meilleurs délais », a martelé Moussa Badji.
Évoquant les conséquences des émanations nocives que l'usine répand dans les environs et à l'intérieur des maisons, le président du collectif affirme : « Cette société est la principale responsable de tous les problèmes d'ordre sanitaire et environnemental auxquels sont confrontées les populations de la zone. Nous réclamons des sanctions fortes contre indorama ics pour non-respect des décisions de justice ».
À en croire les responsables du collectif, l’usine Indorama/ ICS a été sommé de quitter les lieux sur décision de justice.
« Par décision de justice du tribunal de grande instance de Pikine-Guédiawaye confère à l'ordonnance de référé n°170 du 13.09.23 le Tribunal a ordonné à Indorama Ics de cesser toute activité sur le site abritant son unité industrielle sise km 13, de remettre en état des lieux et de procéder sans délai à la destruction ou au transfert des déchets stockés sur le site, le tout sous astreinte de 1.000.000 F CFA par jour de retard d'une part et, d'autres part, en désignation d'expert aux fins de déterminer l'impact réel des activités y exercées sur l'environnement ainsi que les déchets sur l'environnement et la santé des populations avoisinantes», a expliqué Moussa Badji dans les colonnes du journal Tribune.
Suffisant pour le Collectif des habitants de la cité Famara Ibrahima Sagna de solliciter le Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye et son gouvernement, de bien vouloir faire appliquer l'exécution de cette décision et que la loi soit appliquée dans toutes sa rigueur.
« Malgré la décision de justice, Indorama/ ICS produit et met en vente des pesticides à l'origine de nuisances olfactives, avec un stock de plus de 500 tonnes de pesticides obsolètes au niveau du site industriel. Elle n'est pas en règle au vu de la législation environnementale... La situation durable au problème reste la délocalisation de l'usine, dans les meilleurs délais », a martelé Moussa Badji.
Évoquant les conséquences des émanations nocives que l'usine répand dans les environs et à l'intérieur des maisons, le président du collectif affirme : « Cette société est la principale responsable de tous les problèmes d'ordre sanitaire et environnemental auxquels sont confrontées les populations de la zone. Nous réclamons des sanctions fortes contre indorama ics pour non-respect des décisions de justice ».
À en croire les responsables du collectif, l’usine Indorama/ ICS a été sommé de quitter les lieux sur décision de justice.
« Par décision de justice du tribunal de grande instance de Pikine-Guédiawaye confère à l'ordonnance de référé n°170 du 13.09.23 le Tribunal a ordonné à Indorama Ics de cesser toute activité sur le site abritant son unité industrielle sise km 13, de remettre en état des lieux et de procéder sans délai à la destruction ou au transfert des déchets stockés sur le site, le tout sous astreinte de 1.000.000 F CFA par jour de retard d'une part et, d'autres part, en désignation d'expert aux fins de déterminer l'impact réel des activités y exercées sur l'environnement ainsi que les déchets sur l'environnement et la santé des populations avoisinantes», a expliqué Moussa Badji dans les colonnes du journal Tribune.
Suffisant pour le Collectif des habitants de la cité Famara Ibrahima Sagna de solliciter le Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye et son gouvernement, de bien vouloir faire appliquer l'exécution de cette décision et que la loi soit appliquée dans toutes sa rigueur.
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