La société EauNergie a mis au point un système de filtration qui permet de rendre l’eau de mer potable. Un système de dessalement qui intéresse les autorités et les associations humanitaires. Cette entreprise privée a procédé à une démonstration pour montrer aux autorités la performance en matière de consommation d’énergie et en volume. Un projet test qui sera évalué sur 50 m3/heure.
Le Conseiller Technique et secrétaire d’Etat à l’hydraulique rural et le représentant du ministre de l’Hydraulique, ont ainsi effectué le déplacement pour suivre avec la société EauNergie, ce projet test. «Nous sommes venus pour suivre avec une entreprise privée, ce qu’il y a lieu dans le dessalement de l’eau... Il nous a montré comment le système fonctionne avec une pompe qui est immergé au niveau de la mer pour ensuite pomper l’eau et le traiter à travers la machine après pour en faire de l’eau de qualité. Ce qui est une préoccupation de l’Etat surtout pour les régions qui sont dans le besoin», a décliné le premier cité.
Selon Maguette Sène, «il s’agit de faire un système complet dans lequel il y aura le forage, un bassin pour tirer l’eau, un stockage et après un traitement. Pour que cela puisse être distribué au niveau du village». Et d’ajouter : «Nous avons des systèmes multi-villages qui varient entre deux, trois, quatre, dix villages. Donc il va falloir stocker pour distribuer. Il faut aussi décider s’il faut traiter toute l’eau. Ce qui dépendra aussi du prix pour en tirer des avantages. Il va falloir le faire à une échelle qui permettra de juger la rentabilité du système. Si le système est limité, le débit ne peut pas être obtenu».
EauNergie présente dans plusieurs pays d’Afrique (Côte d’Ivoire, au Togo, au Mali, en Guinée, Mauritanie, etc.), «l’eau que nous traitons est potable, ne présente aucun danger. Les laboratoires Pasteur et Mercier l’analyse régulièrement depuis dix (10) ans», a assuré Patrick Guilhem.
Cette société d’ingénierie fournit des solutions «clés en main» dans le domaine du traitement et de la fourniture d’eau potable par énergie renouvelable.
Le Conseiller Technique et secrétaire d’Etat à l’hydraulique rural et le représentant du ministre de l’Hydraulique, ont ainsi effectué le déplacement pour suivre avec la société EauNergie, ce projet test. «Nous sommes venus pour suivre avec une entreprise privée, ce qu’il y a lieu dans le dessalement de l’eau... Il nous a montré comment le système fonctionne avec une pompe qui est immergé au niveau de la mer pour ensuite pomper l’eau et le traiter à travers la machine après pour en faire de l’eau de qualité. Ce qui est une préoccupation de l’Etat surtout pour les régions qui sont dans le besoin», a décliné le premier cité.
Selon Maguette Sène, «il s’agit de faire un système complet dans lequel il y aura le forage, un bassin pour tirer l’eau, un stockage et après un traitement. Pour que cela puisse être distribué au niveau du village». Et d’ajouter : «Nous avons des systèmes multi-villages qui varient entre deux, trois, quatre, dix villages. Donc il va falloir stocker pour distribuer. Il faut aussi décider s’il faut traiter toute l’eau. Ce qui dépendra aussi du prix pour en tirer des avantages. Il va falloir le faire à une échelle qui permettra de juger la rentabilité du système. Si le système est limité, le débit ne peut pas être obtenu».
EauNergie présente dans plusieurs pays d’Afrique (Côte d’Ivoire, au Togo, au Mali, en Guinée, Mauritanie, etc.), «l’eau que nous traitons est potable, ne présente aucun danger. Les laboratoires Pasteur et Mercier l’analyse régulièrement depuis dix (10) ans», a assuré Patrick Guilhem.
Cette société d’ingénierie fournit des solutions «clés en main» dans le domaine du traitement et de la fourniture d’eau potable par énergie renouvelable.
Autres articles
-
Projet RFA : 3 000 emplois directs créés dans cinq régions (responsable)
-
Urgent/Cité Fadja : l’affaissement d’une dalle fait 6 blessés
-
Diourbel : quatre tonnes de produits impropres à la consommation incinérées ce vendredi
-
Problème d’accès à l’eau potable : les populations de Thionk -Essyl dénoncent une "mauvaise gestion du forage de la part du conseiller municipal"
-
Adama Gaye au juge: " s'il y a une leçon à tirer de cette affaire, c'est de faire preuve de plus de prudence à l'avenir"