
Invité du Jury du Dimanche sur iRadio ce 30 mars, Abdourahmane Gueye, a plaidé pour un retour à l'orthodoxie afin de faire de l'école un véritable levier de développement à l'image du Japon et de la Chine. Le secrétaire général de l’Union Démocratique des Enseignants du Sénégal (UDEN), s’est aussi exprimé sur l'introduction de l'anglais dès le préscolaire et l'élémentaire.
« Je crois qu’il nous faut avoir des dirigeants qui soient à même de comprendre l'importance de l'éducation. Certains qui l'ont compris, les pays du dragon, le Japon, la Chine. Ces pays qui l’ont compris, qui ont mis un investissement approprié, mais vous les voyez dans le développement. Il nous faut revenir à l’orthodoxie. Donner à l’éducation sa dimension. Faire de sorte que l'école soit aimée par les populations que les enfants puissent dire que l'école pourrait être tremplin pour devenir quelqu'un. Mais si on met l’école dans cette situation, il est évident que les gens penseront qu’il faut être lutteur, danseur pour gagner sa vie. C'est des choses importantes, mais non pas plus importante que l'école », préconise Abdourahmane Gueye.
Selon l’invité du JDD, l’école, c'est un bien de la communauté. « Quand vous avez une charge de gérer un patrimoine, vous êtes comment ? Il est loisible de s'en référer à toute la communauté, si tenter que nous voulons asseoir une action qui soit, en tout cas, positive pour cette école. Et je crois que quand même à ce niveau, il appendrait mieux à se réajuster. Je donne l'exemple de l'introduction de l'anglais dans le système éducatif au niveau de l'élémentaire. L’idée en soit est bonne, mais la mise en œuvre devrait être discuté pour qu'une fois cela soit mise en branle, que cela puisse avoir l’impact escompté », soutien M. Guèye.
« Je crois qu’il nous faut avoir des dirigeants qui soient à même de comprendre l'importance de l'éducation. Certains qui l'ont compris, les pays du dragon, le Japon, la Chine. Ces pays qui l’ont compris, qui ont mis un investissement approprié, mais vous les voyez dans le développement. Il nous faut revenir à l’orthodoxie. Donner à l’éducation sa dimension. Faire de sorte que l'école soit aimée par les populations que les enfants puissent dire que l'école pourrait être tremplin pour devenir quelqu'un. Mais si on met l’école dans cette situation, il est évident que les gens penseront qu’il faut être lutteur, danseur pour gagner sa vie. C'est des choses importantes, mais non pas plus importante que l'école », préconise Abdourahmane Gueye.
Selon l’invité du JDD, l’école, c'est un bien de la communauté. « Quand vous avez une charge de gérer un patrimoine, vous êtes comment ? Il est loisible de s'en référer à toute la communauté, si tenter que nous voulons asseoir une action qui soit, en tout cas, positive pour cette école. Et je crois que quand même à ce niveau, il appendrait mieux à se réajuster. Je donne l'exemple de l'introduction de l'anglais dans le système éducatif au niveau de l'élémentaire. L’idée en soit est bonne, mais la mise en œuvre devrait être discuté pour qu'une fois cela soit mise en branle, que cela puisse avoir l’impact escompté », soutien M. Guèye.
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