Les chefs d’Etat, les autorités de l’Union Africaine (UA) et de la Commission Economique Africaine (CEA) ont voulu que la célébration du 50e anniversaire de l’Organisation pour l’Unité Africaine (OUA) soit un retour aux sources. La mythique Salle où la première réunion des chefs d’Etat s’était tenue en 1963 a été dépoussiérée pour abriter le dialogue intergénérationnel et assemblée des jeunes et des enfants. Cet événement a réuni d’illustres personnalités comme l’ancien président de la République de la Zambie, Kenneth Kaunda, la Directrice générale de l’UNESCO, Irina Bokova, la présidente de la commission de l’Union Africaine Dr Dlamini Zuma, le secrétaire exécutif de la CEA, Carlos Lopes, plusieurs chefs d’Etat d’Afrique.
Le secrétaire exécutif de la CEA, Carlos Lopes a estimé que «l’Afrique doit pouvoir compter sur sa jeunesse valeureuse. Déjà, sa population est majoritairement jeune. Les défis de l’emploi et la science ne doivent en aucun cas constituer un obstacle pour affirmation de notre jeunesse».
Il a joué sur la corde sensible des jeunes en évoquant l’utilisation en abondance de facebook et un peu la façon dont elle pourrait servir dans le cadre de la révolution des Technologies de l’information et de la communication (TIC).
La présidente de la Commission de l’Union Africaine, Dr Dlamini Zuma a souligné «la nécessité de déverrouiller, de baliser les opportunités pour permettre aux jeunes de faire face aux défis de l’heure et du futur». Et de s’interroger sur ce que l’Afrique a fait des 50 ans de l’OUA ?
Une question qui est revenue maintes fois dans les différentes interventions des jeunes. Ils ont dans l’ensemble estimé qu’il y a beaucoup d’efforts à faire pour se mettre dans les rampes de la croissance et du développement. Ils ont eu à déplorer les querelles de leadership au sein des nations mais aussi entre chefs d’Etat. La dépendance de l’occident, des pays développés a été déplorée. Les jeunes veulent que l’Afrique s’affirme et prenne en charge sa destinée en utilisant pleinement les ressources et les potentiels à sa disposition.
Le secrétaire exécutif de la CEA, Carlos Lopes a estimé que «l’Afrique doit pouvoir compter sur sa jeunesse valeureuse. Déjà, sa population est majoritairement jeune. Les défis de l’emploi et la science ne doivent en aucun cas constituer un obstacle pour affirmation de notre jeunesse».
Il a joué sur la corde sensible des jeunes en évoquant l’utilisation en abondance de facebook et un peu la façon dont elle pourrait servir dans le cadre de la révolution des Technologies de l’information et de la communication (TIC).
La présidente de la Commission de l’Union Africaine, Dr Dlamini Zuma a souligné «la nécessité de déverrouiller, de baliser les opportunités pour permettre aux jeunes de faire face aux défis de l’heure et du futur». Et de s’interroger sur ce que l’Afrique a fait des 50 ans de l’OUA ?
Une question qui est revenue maintes fois dans les différentes interventions des jeunes. Ils ont dans l’ensemble estimé qu’il y a beaucoup d’efforts à faire pour se mettre dans les rampes de la croissance et du développement. Ils ont eu à déplorer les querelles de leadership au sein des nations mais aussi entre chefs d’Etat. La dépendance de l’occident, des pays développés a été déplorée. Les jeunes veulent que l’Afrique s’affirme et prenne en charge sa destinée en utilisant pleinement les ressources et les potentiels à sa disposition.
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