L’affaire de la journaliste Dié Maty Fall du Soleil a créé un malaise au sein du syndicat des professionnels de l’information et de la communication du Sénégal (Synpics). Dans un communiqué conjoint, le syndicat, la convention des jeunes reporters et le Comité d’observation des règles et de déontologie, ont apporté leur soutien à la journaliste, mise à pied pour 7 jours par la Direction général du Soleil.
En effet, la journaliste ces organisations pensent que la journaliste, est dans son droit de ne pas l’actualité politique nationale si cela heurte sa conscience, étant porte-parole adjointe du Parti socialiste et membre de la coalition Benno bokk Yakaar (mouvance présidentielle).
« Cette décision, de nature disciplinaire faisant suite à une demande d’explications que nous avons parcourue est surprenante, avilissante et disproportionnée en ce qu’elle sanctionne dans les faits, un retard de 30 minutes à une réunion de rédaction et le refus de l'intéressée de couvrir l’actualité politique nationale, malgré l’invocation par ses soins de sa clause de conscience », soulignent ces organisation de soutien.
Le SYNPICS en accord avec le CORED et la Convention des Jeunes Reporters, dénonce avec la plus grande énergie cette décision en ce qu’elle nie au journaliste sa liberté de conscience qui est centrale dans l'exercice du métier.
Le syndicat rappelle au Directeur Général du Soleil, que son statut de Journaliste devrait l’amener, au-delà de l’exercice de son pouvoir à aménager au sein de son entreprise un climat de respect strict des principes et fondements du journalisme, nonobstant toute autre question de personne, se réservant le droit de défendre par tous les moyens et à tous les niveaux requis, les principes sacro-saints qui guident le métier de journaliste.
Mais, la section/SYNPICS de la Sspp « Le Soleil » dit à son tour avoir appris, avec surprise, la publication d’un communiqué conjoint du Ben du SYNPICS, de la Convention des jeunes reporters (Cjrs) et du Cored.
« Nous sommes au regret de noter une immixtion à outrance du Ben du SYNPICS dans les affaires de la Section/Le Soleil. Il est hors de question que le Ben du SYNPICS nous supplée avant qu’il ne soit saisi par nos soins. Notre section a toujours assumé sa mission en essayant de régler les problèmes auxquels elle est confrontée en toute responsabilité et dans la sérénité. C’est pourquoi, nous appelons solennellement le Ben à se ressaisir et à cesser ces abus, car les missions de chaque entité sont clairement définies et bien précises », réagit la section synpcis du Soleil.
Elle précise que « personne, mieux que le Bureau de la Section SYNPICS/Le Soleil, n’est à même de porter le combat pour l’amélioration des conditions de travail et le respect scrupuleux des droits des travailleurs de notre Entreprise ».
« Nous ne pouvons point accepter que des individus, agissant en solo, prennent prétexte des affaires du Soleil pour régler des comptes personnels en faisant fi de notre avis et de notre position sur des affaires qui concernent la vie de notre entreprise », souligne-t-elle.
S’agissant de la clause de conscience invoquée par Dié Maty Fall, la section a rappelé et précisé qu’elle n’a déposé la correspondance que le dimanche 11 octobre 2020 ; même si, par ailleurs, elle dit avoir saisi son supérieur hiérarchique via un mail, le 3 septembre 2020.
En vérité, pour sa première lettre, elle s’est trompée de destinataire, car son supérieur hiérarchique n’est pas habilité à se prononcer sur cette question. C’est une prérogative exclusive du Directeur Général du Soleil.
Par ailleurs, la section synpics du Soleil précise que des négociations sont entamées avec le Directeur général sur cette question et ne désespère pas d’une suite favorable afin que Dié Maty Fall change de service.
En effet, la journaliste ces organisations pensent que la journaliste, est dans son droit de ne pas l’actualité politique nationale si cela heurte sa conscience, étant porte-parole adjointe du Parti socialiste et membre de la coalition Benno bokk Yakaar (mouvance présidentielle).
« Cette décision, de nature disciplinaire faisant suite à une demande d’explications que nous avons parcourue est surprenante, avilissante et disproportionnée en ce qu’elle sanctionne dans les faits, un retard de 30 minutes à une réunion de rédaction et le refus de l'intéressée de couvrir l’actualité politique nationale, malgré l’invocation par ses soins de sa clause de conscience », soulignent ces organisation de soutien.
Le SYNPICS en accord avec le CORED et la Convention des Jeunes Reporters, dénonce avec la plus grande énergie cette décision en ce qu’elle nie au journaliste sa liberté de conscience qui est centrale dans l'exercice du métier.
Le syndicat rappelle au Directeur Général du Soleil, que son statut de Journaliste devrait l’amener, au-delà de l’exercice de son pouvoir à aménager au sein de son entreprise un climat de respect strict des principes et fondements du journalisme, nonobstant toute autre question de personne, se réservant le droit de défendre par tous les moyens et à tous les niveaux requis, les principes sacro-saints qui guident le métier de journaliste.
Mais, la section/SYNPICS de la Sspp « Le Soleil » dit à son tour avoir appris, avec surprise, la publication d’un communiqué conjoint du Ben du SYNPICS, de la Convention des jeunes reporters (Cjrs) et du Cored.
« Nous sommes au regret de noter une immixtion à outrance du Ben du SYNPICS dans les affaires de la Section/Le Soleil. Il est hors de question que le Ben du SYNPICS nous supplée avant qu’il ne soit saisi par nos soins. Notre section a toujours assumé sa mission en essayant de régler les problèmes auxquels elle est confrontée en toute responsabilité et dans la sérénité. C’est pourquoi, nous appelons solennellement le Ben à se ressaisir et à cesser ces abus, car les missions de chaque entité sont clairement définies et bien précises », réagit la section synpcis du Soleil.
Elle précise que « personne, mieux que le Bureau de la Section SYNPICS/Le Soleil, n’est à même de porter le combat pour l’amélioration des conditions de travail et le respect scrupuleux des droits des travailleurs de notre Entreprise ».
« Nous ne pouvons point accepter que des individus, agissant en solo, prennent prétexte des affaires du Soleil pour régler des comptes personnels en faisant fi de notre avis et de notre position sur des affaires qui concernent la vie de notre entreprise », souligne-t-elle.
S’agissant de la clause de conscience invoquée par Dié Maty Fall, la section a rappelé et précisé qu’elle n’a déposé la correspondance que le dimanche 11 octobre 2020 ; même si, par ailleurs, elle dit avoir saisi son supérieur hiérarchique via un mail, le 3 septembre 2020.
En vérité, pour sa première lettre, elle s’est trompée de destinataire, car son supérieur hiérarchique n’est pas habilité à se prononcer sur cette question. C’est une prérogative exclusive du Directeur Général du Soleil.
Par ailleurs, la section synpics du Soleil précise que des négociations sont entamées avec le Directeur général sur cette question et ne désespère pas d’une suite favorable afin que Dié Maty Fall change de service.
Autres articles
-
Hôpital Fann : un accompagnant d'un malade "agresse" un médecin et détruit du matériel
-
Nomination des Cadres supérieurs de la Police nationale : le ministre de l’Intérieur opère un vaste chamboulement
-
Affrontements entre militants de Pastef et Takku Wallu à Koungheul: deux commissaires de police relevés de leurs postes
-
Inondations dans la vallée du fleuve Sénégal : la Banque mondiale soutient le Sénégal avec un appui de 1,149 milliard de FCFA
-
Immigration irrégulière : la Marine nationale secourt 217 migrants au large de Joal