Le général François Ndiaye, Président du comité de suivi de la mise en œuvre des opérations du « Force-covide19 », a apporté des précisions dans le cadre de l’exécution de leur programme de travail et les accusations portées sur ledit comité. Face à la presse ce jeudi, il a précisé que les militaires ne sont pas membres du comité. Selon lui, l'information selon laquelle le comité était un chercheur de prime, où il a été question de per diem est une fausse information. Il invite l'organe de presse auteur de cet article à présenter ses excuses au Sénégal.
« Si vous lisez bien le décret qui fixe la composition du comité, il n'y a pas de militaire encore moins de gendarme ni de policier. La composition du comité, ils sont tous ‘’civils’’. Les militaires accompagnent. Il est bien qu’il y est leur présence pour assurer la transparence. Les gens mal intentionnés ne seront peut-être pas tentés de faire des choses en présence des militaires. Pour ce qui est des policiers et des gendarmes, nous avons pris des gens assermentés. Ce sont eux, qui recueillent tout ce qui est réclamation, et contentieux. C’est pour accompagner. Ils sont des conseillés. Compte tenu de leur expertise, si vous prenez la santé, les deux médecins colonels sont des experts en santé publique. L’intendant est un expert financier. Le Commissaire Mar a été Directeur du commissariat à la sécurité alimentaire », clarifie le général François Ndiaye.
Pour ce qui est des per diem, le général annonce qu’il y a eu beaucoup d'amalgame, d'incompréhension, et les gens sont allés trop vite au besoin. Dans sa réponse, le général François Ndiaye a affirmé que cette information est à verser à la corbeille. « Je peux vous affirmer d’emblée, que cette information est à verser dans la corbeille. Pour ne pas dire poubelle. C'est l'histoire des fake news, de l’infox, basé sur des préjugés », tonne le Général.
Selon lui, le comité avait comme posture depuis le début, « de bien faire, se taire, et laisser le braire ». « Il n’y a jamais été question de per diem. Le terme ne figure sur aucun document du comité. Je ne sais pas comment c’est sorti », martèle-t-il.
Réfléchissant, dit-il, à plusieurs hypothèses, le général Ndiaye, retient que la source a manipulé le journaliste pour causer du tort et discrédité les membres du comité. Il a aussi évoqué de motivation mercantile. Car précise-t-il, « un communiqué a été rédigé le 30 avril à l’issue de la première séance plénière. Et il précise bien que les membres du comité ont décidé de travailler bénévolement. « Comment on peut revenir 5 jours après pour dire qu’il y a un problème de per diem. Ça n’a aucun sens », s’interroge-t-il ?
« Si vous lisez bien le décret qui fixe la composition du comité, il n'y a pas de militaire encore moins de gendarme ni de policier. La composition du comité, ils sont tous ‘’civils’’. Les militaires accompagnent. Il est bien qu’il y est leur présence pour assurer la transparence. Les gens mal intentionnés ne seront peut-être pas tentés de faire des choses en présence des militaires. Pour ce qui est des policiers et des gendarmes, nous avons pris des gens assermentés. Ce sont eux, qui recueillent tout ce qui est réclamation, et contentieux. C’est pour accompagner. Ils sont des conseillés. Compte tenu de leur expertise, si vous prenez la santé, les deux médecins colonels sont des experts en santé publique. L’intendant est un expert financier. Le Commissaire Mar a été Directeur du commissariat à la sécurité alimentaire », clarifie le général François Ndiaye.
Pour ce qui est des per diem, le général annonce qu’il y a eu beaucoup d'amalgame, d'incompréhension, et les gens sont allés trop vite au besoin. Dans sa réponse, le général François Ndiaye a affirmé que cette information est à verser à la corbeille. « Je peux vous affirmer d’emblée, que cette information est à verser dans la corbeille. Pour ne pas dire poubelle. C'est l'histoire des fake news, de l’infox, basé sur des préjugés », tonne le Général.
Selon lui, le comité avait comme posture depuis le début, « de bien faire, se taire, et laisser le braire ». « Il n’y a jamais été question de per diem. Le terme ne figure sur aucun document du comité. Je ne sais pas comment c’est sorti », martèle-t-il.
Réfléchissant, dit-il, à plusieurs hypothèses, le général Ndiaye, retient que la source a manipulé le journaliste pour causer du tort et discrédité les membres du comité. Il a aussi évoqué de motivation mercantile. Car précise-t-il, « un communiqué a été rédigé le 30 avril à l’issue de la première séance plénière. Et il précise bien que les membres du comité ont décidé de travailler bénévolement. « Comment on peut revenir 5 jours après pour dire qu’il y a un problème de per diem. Ça n’a aucun sens », s’interroge-t-il ?
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