Selon une source diplomatique contactée par RFI, c'est le 1er décembre dernier à Ouagadougou que les quatre Français ont été arrêtés. Selon la même source, ces ressortissants sont des fonctionnaires techniciens, détenteurs de passeports diplomatiques en règle et en mission pour une opération de maintenance informatique au profit de l'Ambassade de France.
Toujours selon la source de RFI, les quatre Français ont été mis en examen deux semaines plus tard puis incarcérés à la Maco, la maison d'arrêt de la capitale.
D'après les informations de Jeune Afrique, il s'agirait d'agents de la DGSE, les services extérieurs français, qui auraient donc été arrêtés pour « espionnage ». Le magazine affirme que les agents étaient arrivés dans le pays en règle pour une mission officielle.
Malgré les rapports de plus en plus tendus entre la France et le Burkina Faso, la publication soutient que les renseignements des deux pays continuaient à entretenir des relations de coopération technique et opérationnelle.
Une information appuyée par l'AFP qui précise, citant une source diplomatique européenne, que les quatre Français sont connus de leurs collègues burkinabè. Des pourparlers seraient en cours pour obtenir leur libération.
Toujours selon la source de RFI, les quatre Français ont été mis en examen deux semaines plus tard puis incarcérés à la Maco, la maison d'arrêt de la capitale.
D'après les informations de Jeune Afrique, il s'agirait d'agents de la DGSE, les services extérieurs français, qui auraient donc été arrêtés pour « espionnage ». Le magazine affirme que les agents étaient arrivés dans le pays en règle pour une mission officielle.
Malgré les rapports de plus en plus tendus entre la France et le Burkina Faso, la publication soutient que les renseignements des deux pays continuaient à entretenir des relations de coopération technique et opérationnelle.
Une information appuyée par l'AFP qui précise, citant une source diplomatique européenne, que les quatre Français sont connus de leurs collègues burkinabè. Des pourparlers seraient en cours pour obtenir leur libération.
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