
Les autorités avaient exigé, mercredi 24 mars, que l’opposant Anicet Georges Dologuélé produise une autorisation du ministère de la Sécurité avant de quitter le pays, invoquant « de nouvelles mesures ». C’est donc à ce ministère que Martin Ziguélé et Karim Meckassoua ont écrit. Sans sa réponse, ce dernier renvoie la balle aux autorités judiciaires en invoquant « la séparation des pouvoirs ». Un flou « incompréhensible » pour Martin Ziguélé qui dénonce un « retour de l’arbitraire » et un « déni de droit ».
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