Toute une famille décimée dans l’effondrement de leur maison. La catastrophe de Matam allait faire des vagues si on était dans un pays où les autorités se soucient au premier chef de la situation de leurs concitoyens. C’est le lendemain du drame que le préfet de Matam parle de l’inhumation des victimes pour l’après-midi. Vous n’avez pas le droit de le dire, Nom de Dieu !
Pire c’est avec le cœur meurtri, qu’on entend cette autorité administrative parler des mesures à prendre pour que des catastrophes similaires ne se reproduisent plus. Du n’importe quoi !
Vous l’avez dit avec l’ammoniac de la Sonacos, le bateau le Diola, les ménagères qui on perdu la vie avec l’effondrement d’un hangar à Yoff, les incendies et effondrements d’immeubles à Dakar, les bus qui font des ravages présentement sur les routes… Dans tout cela vos discours n’ont rien servi et vous n’avez posé aucun acte sérieux. Vous méritez d’être accusés devant les tribunaux nationaux de non assistance à personne en danger.
Surtout qu’on ne nous parle pas de la responsabilité individuelle de chaque sénégalais. Les autorités ont le devoir de tracer des lignes et d’orienter les citoyens dans le bon sens. Elles ne manquent pourtant jamais d’imagination et d’énergie s’il s’agit de nous faire comprendre leurs agissements quotidiens coupables. Nous parlons du Sénégal de 1960 à aujourd’hui. Là et maintenant, un peu partout au Sénégal, des immeubles poussent sans le respect des normes et des milliers de personnes vivent dans des bâtiments où le risque est permanent.
Face à un pouvoir qui fait tout sur la base de calcule politique, ce n’est pas demain la veille pour la prise de décisions qui mettront fin à de telles catastrophes. Le Chef de l’Etat de retour du sommet du G8, parle de sa proposition relative à une sorte de G20 bis, une institution qui va réfléchir sur le devenir du monde. Commencez par réfléchir sur l’avenir de ce pays.
Pour une énième fois, on vous le dit, il n’est pas temps, il est trop tard !
La presse trop coupable a relégué au second plan cette information dés le lendemain. On s’occupait du mondial et des élections guinéennes. Parce que peut-être cela s’est passé à Matam et non à Dakar ?
Pire c’est avec le cœur meurtri, qu’on entend cette autorité administrative parler des mesures à prendre pour que des catastrophes similaires ne se reproduisent plus. Du n’importe quoi !
Vous l’avez dit avec l’ammoniac de la Sonacos, le bateau le Diola, les ménagères qui on perdu la vie avec l’effondrement d’un hangar à Yoff, les incendies et effondrements d’immeubles à Dakar, les bus qui font des ravages présentement sur les routes… Dans tout cela vos discours n’ont rien servi et vous n’avez posé aucun acte sérieux. Vous méritez d’être accusés devant les tribunaux nationaux de non assistance à personne en danger.
Surtout qu’on ne nous parle pas de la responsabilité individuelle de chaque sénégalais. Les autorités ont le devoir de tracer des lignes et d’orienter les citoyens dans le bon sens. Elles ne manquent pourtant jamais d’imagination et d’énergie s’il s’agit de nous faire comprendre leurs agissements quotidiens coupables. Nous parlons du Sénégal de 1960 à aujourd’hui. Là et maintenant, un peu partout au Sénégal, des immeubles poussent sans le respect des normes et des milliers de personnes vivent dans des bâtiments où le risque est permanent.
Face à un pouvoir qui fait tout sur la base de calcule politique, ce n’est pas demain la veille pour la prise de décisions qui mettront fin à de telles catastrophes. Le Chef de l’Etat de retour du sommet du G8, parle de sa proposition relative à une sorte de G20 bis, une institution qui va réfléchir sur le devenir du monde. Commencez par réfléchir sur l’avenir de ce pays.
Pour une énième fois, on vous le dit, il n’est pas temps, il est trop tard !
La presse trop coupable a relégué au second plan cette information dés le lendemain. On s’occupait du mondial et des élections guinéennes. Parce que peut-être cela s’est passé à Matam et non à Dakar ?
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