COMMUNIQUE DE LA COMMISSION DE LA CEDEAO :: La Commission de la CEDEAO exprime suite aux événements survenus à Bamako sa consternation et son inquiétude croissante, suite à la mutinerie par une section de l'armée à la caserne de Kati sur les abords de la capitale ce 21 Mars 2012. Les perturbations provoquées par des éléments au sein des forces armées sont d'autant plus condamnable, venant au milieu des efforts en cours régionaux et internationaux pour trouver une solution pacifique à la rébellion dans le nord du pays, et un jour après une séance ministérielle extraordinaire de paix de l'UA et du Conseil de sécurité sur la question à Bamako. La CEDEAO condamne fermement les actions erronées des mutins et avertit qu'elle ne tolérera aucun recours à la violence comme moyen d'obtenir réparation. La Commission tient à rappeler à l'armée de sa responsabilité en vertu de la Constitution, et de réitérer la politique de la CEDEAO de «tolérance zéro» pour toute tentative d'obtenir ou de conserver le pouvoir par des moyens anticonstitutionnels. |
Autres articles
-
Haïti convoque l'ambassadeur de France après les propos «inacceptables» d'Emmanuel Macron
-
Mali: le général de division Abdoulaye Maïga nommé Premier ministre de transition
-
Syrie: 68 morts dans les frappes israéliennes contre des groupes pro-iraniens à Palmyre (nouveau bilan)
-
États-Unis: Elon Musk détaille son «projet» de réforme de l'État dans le «Wall Street Journal»
-
Egypte: une loi sur les réfugiés adoptée par le Parlement